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Bonne découverte...
Fonds | Intitulé | Contexte | Contenu | Détail | ||||||||||||||
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Tout le contenu des pages du site Internet | Photographie du fronton de l'église de Cotignac | Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Photographie du fronton de l'église de Cotignac | En février 1848, la Seconde République décide officiellement que la formule « Liberté, Egalité, Fraternité » sera la devise de la France. Ainsi, à partir de cette période, certaines municipalités, pour bien montrer la mise au pas du clergé, décident d'inscrire la devise sur les frontons des églises. Ces inscriptions n'ont pourtant fait dans le Var l'objet de presque aucune délibération communale. Une des seules références connues est cet article de presse datant de 1882, montrant ainsi que ces inscriptions ne datent pas seulement de 1905. En France, une centaine d'églises sont gravées de la devise, essentiellement dans le Midi, le Centre et Paris alors que ni la Bretagne ni la Corse n'en possèdent.
Cliché Joël Levillain | https://archives.var.fr/article.php?laref=11139&titre=photographie-du-fronton-de-l-eglise-de-cotignac | ||||||||||||||
Tout le contenu des pages du site Internet | Photographie du fronton de l'église d'Entrecasteaux | Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Photographie du fronton de l'église d'Entrecasteaux | En février 1848, la Seconde République décide officiellement que la formule « Liberté, Egalité, Fraternité » sera la devise de la France. Ainsi, à partir de cette période, certaines municipalités, pour bien montrer la mise au pas du clergé, décident d'inscrire la devise sur les frontons des églises. Ces inscriptions n'ont pourtant fait dans le Var l'objet de presque aucune délibération communale. Une des seules références connues est cet article de presse datant de 1882, montrant ainsi que ces inscriptions ne datent pas seulement de 1905. En France, une centaine d'églises sont gravées de la devise, essentiellement dans le Midi, le Centre et Paris alors que ni la Bretagne ni la Corse n'en possèdent.
Cliché Joël Levillain
| https://archives.var.fr/article.php?laref=11140&titre=photographie-du-fronton-de-l-eglise-d-entrecasteaux | ||||||||||||||
Tout le contenu des pages du site Internet | Photographie du fronton de l'église de La Roquebrussanne | Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Photographie du fronton de l'église de La Roquebrussanne | En février 1848, la Seconde République décide officiellement que la formule « Liberté, Egalité, Fraternité » sera la devise de la France. Ainsi, à partir de cette période, certaines municipalités, pour bien montrer la mise au pas du clergé, décident d'inscrire la devise sur les frontons des églises. Ces inscriptions n'ont pourtant fait dans le Var l'objet de presque aucune délibération communale. Une des seules références connues est cet article de presse datant de 1882, montrant ainsi que ces inscriptions ne datent pas seulement de 1905. En France, une centaine d'églises sont gravées de la devise, essentiellement dans le Midi, le Centre et Paris alors que ni la Bretagne ni la Corse n'en possèdent.
Cliché Joël Levillain | https://archives.var.fr/article.php?laref=11141&titre=photographie-du-fronton-de-l-eglise-de-la-roquebrussanne | ||||||||||||||
Tout le contenu des pages du site Internet | Photographie du fronton de l'église de Puget-Ville | Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Photographie du fronton de l'église de Puget-Ville | En février 1848, la Seconde République décide officiellement que la formule « Liberté, Egalité, Fraternité » sera la devise de la France. Ainsi, à partir de cette période, certaines municipalités, pour bien montrer la mise au pas du clergé, décident d'inscrire la devise sur les frontons des églises. Ces inscriptions n'ont pourtant fait dans le Var l'objet de presque aucune délibération communale. Une des seules références connues est cet article de presse datant de 1882, montrant ainsi que ces inscriptions ne datent pas seulement de 1905. En France, une centaine d'églises sont gravées de la devise, essentiellement dans le Midi, le Centre et Paris alors que ni la Bretagne ni la Corse n'en possèdent.
Cliché Joël Levillain | https://archives.var.fr/article.php?laref=11142&titre=photographie-du-fronton-de-l-eglise-de-puget-ville | ||||||||||||||
Tout le contenu des pages du site Internet | Photographie du fronton de l'église de Salernes | Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Photographie du fronton de l'église de Salernes | En février 1848, la Seconde République décide officiellement que la formule " Liberté, Egalité, Fraternité " sera la devise de la France. Ainsi, à partir de cette période, certaines municipalités, pour bien montrer la mise au pas du clergé, décident d'inscrire la devise sur les frontons des églises. Ces inscriptions n'ont pourtant fait dans le Var l'objet de presque aucune délibération communale. Une des seules références connues est cet article de presse datant de 1882, montrant ainsi que ces inscriptions ne datent pas seulement de 1905. En France, une centaine d'églises sont gravées de la devise, essentiellement dans le Midi, le Centre et Paris alors que ni la Bretagne ni la Corse n'en possèdent.
Cliché Joël Levillain | https://archives.var.fr/article.php?laref=11143&titre=photographie-du-fronton-de-l-eglise-de-salernes | ||||||||||||||
Tout le contenu des pages du site Internet | Photographie du fronton de l'église de Villecroze | Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Photographie du fronton de l'église de Villecroze | En février 1848, la Seconde République décide officiellement que la formule « Liberté, Egalité, Fraternité » sera la devise de la France. Ainsi, à partir de cette période, certaines municipalités, pour bien montrer la mise au pas du clergé, décident d'inscrire la devise sur les frontons des églises. Ces inscriptions n'ont pourtant fait dans le Var l'objet de presque aucune délibération communale. Une des seules références connues est cet article de presse datant de 1882, montrant ainsi que ces inscriptions ne datent pas seulement de 1905. En France, une centaine d'églises sont gravées de la devise, essentiellement dans le Midi, le Centre et Paris alors que ni la Bretagne ni la Corse n'en possèdent.
Cliché Joël Levillain | https://archives.var.fr/article.php?laref=11144&titre=photographie-du-fronton-de-l-eglise-de-villecroze | ||||||||||||||
Tout le contenu des pages du site Internet | Article du journal "La Région radicale" daté du 19 mars 1882 (82 PRS 1) | Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Article du journal "La Région radicale" daté du 19 mars 1882 (82 PRS 1) | En février 1848, la Seconde République décide officiellement que la formule « Liberté, Egalité, Fraternité » sera la devise de la France. Ainsi, à partir de cette période, certaines municipalités, pour bien montrer la mise au pas du clergé, décident d'inscrire la devise sur les frontons des églises. Une des seules références connue est cet article de presse datant de 1882, montrant ainsi que ces inscriptions ne datent pas seulement de 1905. En France, une centaine d'églises sont gravées de la devise, essentiellement dans le Midi, le Centre et Paris alors que ni la Bretagne ni la Corse n'en possède. | https://archives.var.fr/article.php?laref=11145&titre=article-du-journal-la-region-radicale-date-du-19-mars-1882-82-prs-1- | ||||||||||||||
Tout le contenu des pages du site Internet | Arrêté municipal de la commune de Varages au sujet de l'inscription de la devise républicaine sur le fronton de l'église (1) | Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Arrêté municipal de la commune de Varages au sujet de l'inscription de la devise républicaine sur le fronton de l'église (1) | En février 1848, la Seconde République décide officiellement que la formule « Liberté, Egalité, Fraternité » sera la devise de la France. Ainsi, à partir de cette période, certaines municipalités, pour bien montrer la mise au pas du clergé, décident d'inscrire la devise sur les frontons des églises. Ces inscriptions n'ont pourtant fait dans le Var l'objet de presque aucune délibération communale. Une des seules références connues est cet article de presse datant de 1882, montrant ainsi que ces inscriptions ne datent pas seulement de 1905. En France, une centaine d'églises sont gravées de la devise, essentiellement dans le Midi, le Centre et Paris alors que ni la Bretagne ni la Corse n'en possède.
| https://archives.var.fr/article.php?laref=11146&titre=arrete-municipal-de-la-commune-de-varages-au-sujet-de-l-inscription-de-la-devise-republicaine-sur-le-fronton-de-l-eglise-1- | ||||||||||||||
Tout le contenu des pages du site Internet | Arrêté municipal de la commune de Varages au sujet de l'inscription de la devise républicaine sur le fronton de l'église (1) | Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Arrêté municipal de la commune de Varages au sujet de l'inscription de la devise républicaine sur le fronton de l'église (1) | En février 1848, la Seconde République décide officiellement que la formule « Liberté, Egalité, Fraternité » sera la devise de la France. Ainsi, à partir de cette période, certaines municipalités, pour bien montrer la mise au pas du clergé, décident d'inscrire la devise sur les frontons des églises. Ces inscriptions n'ont pourtant fait dans le Var l'objet de presque aucune délibération communale. Une des seules références connues est cet article de presse datant de 1882, montrant ainsi que ces inscriptions ne datent pas seulement de 1905. En France, une centaine d'églises sont gravées de la devise, essentiellement dans le Midi, le Centre et Paris alors que ni la Bretagne ni la Corse n'en possède. | https://archives.var.fr/article.php?laref=11147&titre=arrete-municipal-de-la-commune-de-varages-au-sujet-de-l-inscription-de-la-devise-republicaine-sur-le-fronton-de-l-eglise-1- | ||||||||||||||
Tout le contenu des pages du site Internet | Portrait de Maurice Allard | Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Portrait de Maurice Allard | En 1898, le journaliste et avocat Maurice ALLARD, est élu député à Draguignan, il sera réélu en 1902 et en 1906. Allard se fait remarquer au Parlement par sa combativité anticléricale. Il prend une part plus qu’active contre la loi de 1905, la jugeant trop mièvre. Il veut empêcher que l’église ne devienne un État dans l’État, le parti de l’étranger. Au projet rapporté par Briand, Allard oppose en vain, une contre-proposition le 10 avril 1905. A Draguignan il est désigné comme étant « l’homme qui marche droit ! » (source : « Pensons par nous-mêmes », Maurice MISTRE) | https://archives.var.fr/article.php?laref=11148&titre=portrait-de-maurice-allard | ||||||||||||||
Tout le contenu des pages du site Internet | Une du Cri du Var datée du 26 mars 1905 dans lequel Maurice Allard présente son contre-projet de séparation des Eglises et de l'Etat (95 PRS 1) | Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Une du Cri du Var datée du 26 mars 1905 dans lequel Maurice Allard présente son contre-projet de séparation des Eglises et de l'Etat (95 PRS 1) | En 1898, le journaliste et avocat Maurice ALLARD, est élu député à Draguignan, il sera réélu en 1902 et en 1906. Allard se fait remarquer au Parlement par sa combativité anticléricale. Il prend une part plus qu’active contre la loi de 1905, la jugeant trop mièvre. Il veut empêcher que l’église ne devienne un État dans l’État, le parti de l’étranger. Au projet rapporté par Briand, Allard oppose en vain, une contre-proposition le 10 avril 1905. A Draguignan il est désigné comme étant « l’homme qui marche droit ! » (source : « Pensons par nous-mêmes », Maurice MISTRE) | https://archives.var.fr/article.php?laref=11158&titre=une-du-cri-du-var-datee-du-26-mars-1905-dans-lequel-maurice-allard-presente-son-contre-projet-de-separation-des-eglises-et-de-l-etat-95-prs-1- | ||||||||||||||
Tout le contenu des pages du site Internet | Portrait de Georges Clemenceau (1 FI 64) | Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Portrait de Georges Clemenceau (1 FI 64) | Georges CLEMENCEAU est un homme politique Français né le 28 septembre 1841 à Mouilleron-en-Pareds. Il est élu député de Draguignan (1885-1893) puis sénateur du Var. Athée, il défend la liberté de toutes les opinions. Comparaison des idées d'Allard et Clémenceau au sujet de la loi de Séparation
1 leur position
2 leur définition de la liberté de conscience
3 leur contestation de l'article 4
4 leur lutte politique
5 leur tolérance
6 leur vote par défaut
| https://archives.var.fr/article.php?laref=11159&titre=portrait-de-georges-clemenceau-1-fi-64- | ||||||||||||||
Tout le contenu des pages du site Internet | Loi du 9 décembre 1905 sur la séparation des Eglises et de l'Etat - 1 K 420 (1) | Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Loi du 9 décembre 1905 sur la séparation des Eglises et de l'Etat - 1 K 420 (1) | Souvent présentée comme un des piliers de notre République, la loi de 1905 est le résultat d'une longue construction législative menée lors du ministère d'Emile Combes (1902-1905). Son vote s'est accompagné d'affrontements idéologiques et politiques violents lors des débats parlementaires ainsi que dans la presse. Dans l'esprit de ses auteurs, Aristide Briand, Jean Jaurès et Louis Méjan, elle était pourtant un loi de compromis.
Elle proclame la liberté de conscience et garantit le libre exercice des cultes.
Article 1er : «la République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes...». Article 2 : «La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte...»
Par cette loi, l'État manifeste sa volonté de neutralité religieuse mais ne s'exonère pas de ses responsabilités. Il n'entend en aucune façon limiter la liberté de conscience ni cantonner la religion à la sphère privée - il n'est pas question par exemple d'interdire le port de vêtements religieux par les ecclésiastiques comme le demandait Maurice Allard. La loi prévoit un inventaire des biens de l'Eglise et leur dévolution aux associations cultuelles nouvellement créées. Les fonctionnaires des Domaines devaient donc se rendre dans les églises pour inventorier leurs biens entraînant ainsi des oppositions farouches de la population notamment dans les régions fortement catholiques comme la Bretagne.
| https://archives.var.fr/article.php?laref=11160&titre=loi-du-9-decembre-1905-sur-la-separation-des-eglises-et-de-l-etat-1-k-420-1- | ||||||||||||||
Tout le contenu des pages du site Internet | Loi du 9 décembre 1905 sur la séparation des Eglises et de l'Etat - 1 K 420 (2) | Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Loi du 9 décembre 1905 sur la séparation des Eglises et de l'Etat - 1 K 420 (2) | Souvent présentée comme un des piliers de notre République, la loi de 1905 est le résultat d'une longue construction législative menée lors du ministère d'Emile Combes (1902-1905). Son vote s'est accompagné d'affrontements idéologiques et politiques violents lors des débats parlementaires ainsi que dans la presse. Dans l'esprit de ses auteurs, Aristide Briand, Jean Jaurès et Louis Méjan, elle était pourtant un loi de compromis.
Elle proclame la liberté de conscience et garantit le libre exercice des cultes.
Article 1er : «la République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes...». Article 2 : «La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte...»
Par cette loi, l'État manifeste sa volonté de neutralité religieuse mais ne s'exonère pas de ses responsabilités. Il n'entend en aucune façon limiter la liberté de conscience ni cantonner la religion à la sphère privée - il n'est pas question par exemple d'interdire le port de vêtements religieux par les ecclésiastiques comme le demandait Maurice Allard. La loi prévoit un inventaire des biens de l'Eglise et leur dévolution aux associations cultuelles nouvellement créées. Les fonctionnaires des Domaines devaient donc se rendre dans les églises pour inventorier leurs biens entraînant ainsi des oppositions farouches de la population notamment dans les régions fortement catholiques comme la Bretagne.
| https://archives.var.fr/article.php?laref=11161&titre=loi-du-9-decembre-1905-sur-la-separation-des-eglises-et-de-l-etat-1-k-420-2- | ||||||||||||||
Tout le contenu des pages du site Internet | Loi du 9 décembre 1905 sur la séparation des Eglises et de l'Etat - 1 K 420 (3) | Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Loi du 9 décembre 1905 sur la séparation des Eglises et de l'Etat - 1 K 420 (3) | Souvent présentée comme un des piliers de notre République, la loi de 1905 est le résultat d'une longue construction législative menée lors du ministère d'Emile Combes (1902-1905). Son vote s'est accompagné d'affrontements idéologiques et politiques violents lors des débats parlementaires ainsi que dans la presse. Dans l'esprit de ses auteurs, Aristide Briand, Jean Jaurès et Louis Méjan, elle était pourtant un loi de compromis.
Elle proclame la liberté de conscience et garantit le libre exercice des cultes.
Article 1er : «la République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes...». Article 2 : «La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte...»
Par cette loi, l'État manifeste sa volonté de neutralité religieuse mais ne s'exonère pas de ses responsabilités. Il n'entend en aucune façon limiter la liberté de conscience ni cantonner la religion à la sphère privée - il n'est pas question par exemple d'interdire le port de vêtements religieux par les ecclésiastiques comme le demandait Maurice Allard. La loi prévoit un inventaire des biens de l'Eglise et leur dévolution aux associations cultuelles nouvellement créées. Les fonctionnaires des Domaines devaient donc se rendre dans les églises pour inventorier leurs biens entraînant ainsi des oppositions farouches de la population notamment dans les régions fortement catholiques comme la Bretagne.
| https://archives.var.fr/article.php?laref=11162&titre=loi-du-9-decembre-1905-sur-la-separation-des-eglises-et-de-l-etat-1-k-420-3- | ||||||||||||||
Tout le contenu des pages du site Internet | Loi du 9 décembre 1905 sur la séparation des Eglises et de l'Etat - 1 K 420 (4) | Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Loi du 9 décembre 1905 sur la séparation des Eglises et de l'Etat - 1 K 420 (4) | Souvent présentée comme un des piliers de notre République, la loi de 1905 est le résultat d'une longue construction législative menée lors du ministère d'Emile Combes (1902-1905). Son vote s'est accompagné d'affrontements idéologiques et politiques violents lors des débats parlementaires ainsi que dans la presse. Dans l'esprit de ses auteurs, Aristide Briand, Jean Jaurès et Louis Méjan, elle était pourtant un loi de compromis.
Elle proclame la liberté de conscience et garantit le libre exercice des cultes.
Article 1er : «la République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes...». Article 2 : «La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte...»
Par cette loi, l'État manifeste sa volonté de neutralité religieuse mais ne s'exonère pas de ses responsabilités. Il n'entend en aucune façon limiter la liberté de conscience ni cantonner la religion à la sphère privée - il n'est pas question par exemple d'interdire le port de vêtements religieux par les ecclésiastiques comme le demandait Maurice Allard. La loi prévoit un inventaire des biens de l'Eglise et leur dévolution aux associations cultuelles nouvellement créées. Les fonctionnaires des Domaines devaient donc se rendre dans les églises pour inventorier leurs biens entraînant ainsi des oppositions farouches de la population notamment dans les régions fortement catholiques comme la Bretagne.
| https://archives.var.fr/article.php?laref=11163&titre=loi-du-9-decembre-1905-sur-la-separation-des-eglises-et-de-l-etat-1-k-420-4- | ||||||||||||||
Tout le contenu des pages du site Internet | Loi du 9 décembre 1905 sur la séparation des Eglises et de l'Etat - 1 K 420 (5) | Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Loi du 9 décembre 1905 sur la séparation des Eglises et de l'Etat - 1 K 420 (5) | Souvent présentée comme un des piliers de notre République, la loi de 1905 est le résultat d'une longue construction législative menée lors du ministère d'Emile Combes (1902-1905). Son vote s'est accompagné d'affrontements idéologiques et politiques violents lors des débats parlementaires ainsi que dans la presse. Dans l'esprit de ses auteurs, Aristide Briand, Jean Jaurès et Louis Méjan, elle était pourtant un loi de compromis.
Elle proclame la liberté de conscience et garantit le libre exercice des cultes.
Article 1er : «la République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes...». Article 2 : «La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte...»
Par cette loi, l'État manifeste sa volonté de neutralité religieuse mais ne s'exonère pas de ses responsabilités. Il n'entend en aucune façon limiter la liberté de conscience ni cantonner la religion à la sphère privée - il n'est pas question par exemple d'interdire le port de vêtements religieux par les ecclésiastiques comme le demandait Maurice Allard. La loi prévoit un inventaire des biens de l'Eglise et leur dévolution aux associations cultuelles nouvellement créées. Les fonctionnaires des Domaines devaient donc se rendre dans les églises pour inventorier leurs biens entraînant ainsi des oppositions farouches de la population notamment dans les régions fortement catholiques comme la Bretagne.
| https://archives.var.fr/article.php?laref=11164&titre=loi-du-9-decembre-1905-sur-la-separation-des-eglises-et-de-l-etat-1-k-420-5- | ||||||||||||||
Tout le contenu des pages du site Internet | Loi du 9 décembre 1905 sur la séparation des Eglises et de l'Etat - 1 K 420 (6) | Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Loi du 9 décembre 1905 sur la séparation des Eglises et de l'Etat - 1 K 420 (6) | Souvent présentée comme un des piliers de notre République, la loi de 1905 est le résultat d'une longue construction législative menée lors du ministère d'Emile Combes (1902-1905). Son vote s'est accompagné d'affrontements idéologiques et politiques violents lors des débats parlementaires ainsi que dans la presse. Dans l'esprit de ses auteurs, Aristide Briand, Jean Jaurès et Louis Méjan, elle était pourtant un loi de compromis.
Elle proclame la liberté de conscience et garantit le libre exercice des cultes.
Article 1er : «la République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes...». Article 2 : «La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte...»
Par cette loi, l'État manifeste sa volonté de neutralité religieuse mais ne s'exonère pas de ses responsabilités. Il n'entend en aucune façon limiter la liberté de conscience ni cantonner la religion à la sphère privée - il n'est pas question par exemple d'interdire le port de vêtements religieux par les ecclésiastiques comme le demandait Maurice Allard. La loi prévoit un inventaire des biens de l'Eglise et leur dévolution aux associations cultuelles nouvellement créées. Les fonctionnaires des Domaines devaient donc se rendre dans les églises pour inventorier leurs biens entraînant ainsi des oppositions farouches de la population notamment dans les régions fortement catholiques comme la Bretagne.
| https://archives.var.fr/article.php?laref=11165&titre=loi-du-9-decembre-1905-sur-la-separation-des-eglises-et-de-l-etat-1-k-420-6- | ||||||||||||||
Tout le contenu des pages du site Internet | Loi du 9 décembre 1905 sur la séparation des Eglises et de l'Etat - 1 K 420 (7) | Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Loi du 9 décembre 1905 sur la séparation des Eglises et de l'Etat - 1 K 420 (7) | Souvent présentée comme un des piliers de notre République, la loi de 1905 est le résultat d'une longue construction législative menée lors du ministère d'Emile Combes (1902-1905). Son vote s'est accompagné d'affrontements idéologiques et politiques violents lors des débats parlementaires ainsi que dans la presse. Dans l'esprit de ses auteurs, Aristide Briand, Jean Jaurès et Louis Méjan, elle était pourtant un loi de compromis.
Elle proclame la liberté de conscience et garantit le libre exercice des cultes.
Article 1er : «la République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes...». Article 2 : «La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte...»
Par cette loi, l'État manifeste sa volonté de neutralité religieuse mais ne s'exonère pas de ses responsabilités. Il n'entend en aucune façon limiter la liberté de conscience ni cantonner la religion à la sphère privée - il n'est pas question par exemple d'interdire le port de vêtements religieux par les ecclésiastiques comme le demandait Maurice Allard. La loi prévoit un inventaire des biens de l'Eglise et leur dévolution aux associations cultuelles nouvellement créées. Les fonctionnaires des Domaines devaient donc se rendre dans les églises pour inventorier leurs biens entraînant ainsi des oppositions farouches de la population notamment dans les régions fortement catholiques comme la Bretagne.
| https://archives.var.fr/article.php?laref=11166&titre=loi-du-9-decembre-1905-sur-la-separation-des-eglises-et-de-l-etat-1-k-420-7- | ||||||||||||||
Tout le contenu des pages du site Internet | Loi du 9 décembre 1905 sur la séparation des Eglises et de l'Etat - 1 K 420 (8) | Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Loi du 9 décembre 1905 sur la séparation des Eglises et de l'Etat - 1 K 420 (8) | Souvent présentée comme un des piliers de notre République, la loi de 1905 est le résultat d'une longue construction législative menée lors du ministère d'Emile Combes (1902-1905). Son vote s'est accompagné d'affrontements idéologiques et politiques violents lors des débats parlementaires ainsi que dans la presse. Dans l'esprit de ses auteurs, Aristide Briand, Jean Jaurès et Louis Méjan, elle était pourtant un loi de compromis.
Elle proclame la liberté de conscience et garantit le libre exercice des cultes.
Article 1er : «la République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes...». Article 2 : «La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte...»
Par cette loi, l'État manifeste sa volonté de neutralité religieuse mais ne s'exonère pas de ses responsabilités. Il n'entend en aucune façon limiter la liberté de conscience ni cantonner la religion à la sphère privée - il n'est pas question par exemple d'interdire le port de vêtements religieux par les ecclésiastiques comme le demandait Maurice Allard. La loi prévoit un inventaire des biens de l'Eglise et leur dévolution aux associations cultuelles nouvellement créées. Les fonctionnaires des Domaines devaient donc se rendre dans les églises pour inventorier leurs biens entraînant ainsi des oppositions farouches de la population notamment dans les régions fortement catholiques comme la Bretagne.
| https://archives.var.fr/article.php?laref=11167&titre=loi-du-9-decembre-1905-sur-la-separation-des-eglises-et-de-l-etat-1-k-420-8- | ||||||||||||||
Tout le contenu des pages du site Internet | Loi du 9 décembre 1905 sur la séparation des Eglises et de l'Etat - 1 K 420 (9) | Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Loi du 9 décembre 1905 sur la séparation des Eglises et de l'Etat - 1 K 420 (9) | Souvent présentée comme un des piliers de notre République, la loi de 1905 est le résultat d'une longue construction législative menée lors du ministère d'Emile Combes (1902-1905). Son vote s'est accompagné d'affrontements idéologiques et politiques violents lors des débats parlementaires ainsi que dans la presse. Dans l'esprit de ses auteurs, Aristide Briand, Jean Jaurès et Louis Méjan, elle était pourtant un loi de compromis.
Elle proclame la liberté de conscience et garantit le libre exercice des cultes.
Article 1er : «la République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes...». Article 2 : «La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte...»
Par cette loi, l'État manifeste sa volonté de neutralité religieuse mais ne s'exonère pas de ses responsabilités. Il n'entend en aucune façon limiter la liberté de conscience ni cantonner la religion à la sphère privée - il n'est pas question par exemple d'interdire le port de vêtements religieux par les ecclésiastiques comme le demandait Maurice Allard. La loi prévoit un inventaire des biens de l'Eglise et leur dévolution aux associations cultuelles nouvellement créées. Les fonctionnaires des Domaines devaient donc se rendre dans les églises pour inventorier leurs biens entraînant ainsi des oppositions farouches de la population notamment dans les régions fortement catholiques comme la Bretagne.
| https://archives.var.fr/article.php?laref=11168&titre=loi-du-9-decembre-1905-sur-la-separation-des-eglises-et-de-l-etat-1-k-420-9- | ||||||||||||||
Tout le contenu des pages du site Internet | Loi du 9 décembre 1905 sur la séparation des Eglises et de l'Etat - 1 K 420 (10) | Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Loi du 9 décembre 1905 sur la séparation des Eglises et de l'Etat - 1 K 420 (10) | Souvent présentée comme un des piliers de notre République, la loi de 1905 est le résultat d'une longue construction législative menée lors du ministère d'Emile Combes (1902-1905). Son vote s'est accompagné d'affrontements idéologiques et politiques violents lors des débats parlementaires ainsi que dans la presse. Dans l'esprit de ses auteurs, Aristide Briand, Jean Jaurès et Louis Méjan, elle était pourtant un loi de compromis.
Elle proclame la liberté de conscience et garantit le libre exercice des cultes.
Article 1er : «la République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes...». Article 2 : «La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte...»
Par cette loi, l'État manifeste sa volonté de neutralité religieuse mais ne s'exonère pas de ses responsabilités. Il n'entend en aucune façon limiter la liberté de conscience ni cantonner la religion à la sphère privée - il n'est pas question par exemple d'interdire le port de vêtements religieux par les ecclésiastiques comme le demandait Maurice Allard. La loi prévoit un inventaire des biens de l'Eglise et leur dévolution aux associations cultuelles nouvellement créées. Les fonctionnaires des Domaines devaient donc se rendre dans les églises pour inventorier leurs biens entraînant ainsi des oppositions farouches de la population notamment dans les régions fortement catholiques comme la Bretagne.
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Elle proclame la liberté de conscience et garantit le libre exercice des cultes.
Article 1er : «la République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes...». Article 2 : «La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte...»
Par cette loi, l'État manifeste sa volonté de neutralité religieuse mais ne s'exonère pas de ses responsabilités. Il n'entend en aucune façon limiter la liberté de conscience ni cantonner la religion à la sphère privée - il n'est pas question par exemple d'interdire le port de vêtements religieux par les ecclésiastiques comme le demandait Maurice Allard. La loi prévoit un inventaire des biens de l'Eglise et leur dévolution aux associations cultuelles nouvellement créées. Les fonctionnaires des Domaines devaient donc se rendre dans les églises pour inventorier leurs biens entraînant ainsi des oppositions farouches de la population notamment dans les régions fortement catholiques comme la Bretagne.
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Elle proclame la liberté de conscience et garantit le libre exercice des cultes.
Article 1er : «la République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes...». Article 2 : «La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte...»
Par cette loi, l'État manifeste sa volonté de neutralité religieuse mais ne s'exonère pas de ses responsabilités. Il n'entend en aucune façon limiter la liberté de conscience ni cantonner la religion à la sphère privée - il n'est pas question par exemple d'interdire le port de vêtements religieux par les ecclésiastiques comme le demandait Maurice Allard. La loi prévoit un inventaire des biens de l'Eglise et leur dévolution aux associations cultuelles nouvellement créées. Les fonctionnaires des Domaines devaient donc se rendre dans les églises pour inventorier leurs biens entraînant ainsi des oppositions farouches de la population notamment dans les régions fortement catholiques comme la Bretagne.
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