Réduire les caractères Augmenter les caractères Augmenter les contrastes Imprimer

Ce nouvel accès aux ressources archivistiques permet de faire des recherches sur l'ensemble des contenus de ce site. Il permet à chaque utilisateur de composer facilement sa propre recherche en sélectionnant progressivement les différents filtres.

Ce moteur à facettes, aujourd'hui proposé en test, est conçu pour s'enrichir régulièrement de contenus et de fonctionnalités nouvelles. En effet, contrairement à l'ancienne recherche globale, toujours accessible, seuls quelques instruments de recherche sont interrogeables pour l'instant. Nous vous invitons à consulter régulièrement la page d'aide : elle vous tient au courant du fonctionnement et de l'évolution du contenu accessible via ce moteur de recherche.

A noter : le fonds de la bibliothèque et les archives orales qui ont tous deux leur site internet dédié ne seront intégrés à la nouvelle recherche globale que lors d'une refonte ultérieure.

Bonne découverte...

Résultats 26 à 50 sur 1 171 : Résultats par page :
Trier par :  
FondsIntituléContexteContenuDétail
Tout le contenu des pages du site Internet
Portrait de Jean-Etienne Portalis (7 FI 16)
Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Portrait de Jean-Etienne Portalis (7 FI 16)

L'arrivée au pouvoir de Bonaparte en tant que Premier Consul en 1799 se caractérise par une volonté de réchauffement entre la papauté et le Pouvoir. Ainsi il autorise tout écclésiastique qui prête serment à la nouvelle constitution à célébrer le culte. Il autorise aussi l'ouverture des églises et le repos le dimanche. De nombreux prêtres refractaires vont ainsi revenir d'exil.

Avec l'élection du pape Pie VII, Bonaparte décide de prolonger ce rapprochement, à la fois pour résoudre la crise religieuse en France mais aussi pour éloigner les catholiques français du parti royaliste. Après de longues négociations, le concordat est signé, il réglera les relations entre l'Etat et l'Eglise catholique jusqu'en 1905. La religion catholique devient celle «de la grande majorité des Français» à défaut d'être religion d'Etat. La nomination des évêques est désormais le fait du chef de l'Etat, le pape accordant ensuite l'institution canonique. Bonaparte demande au varois Jean-Etienne-Marie Portalis, rédacteur du code civil, de préciser les termes du Concordat en y rajoutant une série de réglements très contraignants devant régler en détail la vie de l'Eglise de France. Ces "articles organiques" ne seront jamais acceptés par le Saint-Siège puisqu'ils vont limiter au strict minimum les relations entre évêques français et le pape.

Jean-Etienne-Marie Portalis : fils d'un notaire, commence sa carrière, en 1765, comme avocat au Parlement d'Aix. Il y acquiert une grande réputation et occupe plusieurs charges à la veille de la Révolution. Il est à l'origine de l'édit de 1787 sur l'état civil des protestants. Emprisonné sous la Terreur, il s'inscrit au barreau de Paris après Thermidor. Il est élu au Conseil des Anciens qu'il préside en 1796. Le 8 octobre 1801, il devient Directeur des affaires ecclésiastiques puis ministre des Cultes le 10 juillet 1804, en récompense du rôle qu'il a joué dans l'élaboration du Concordat. Il meurt quelques années plus tard des suites d'une opération de la cataracte.

 

 

https://archives.var.fr/article.php?laref=11111&titre=portrait-de-jean-etienne-portalis-7-fi-16-
Tout le contenu des pages du site Internet
Extrait du recueil des lois de 1802 contenant les articles du concordat passé entre Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII (page 1)
Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Extrait du recueil des lois de 1802 contenant les articles du concordat passé entre Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII (page 1)

L'arrivée au pouvoir de Bonaparte en tant que Premier Consul en 1799 se caractérise par une volonté de réchauffement entre la papauté et le Pouvoir. Ainsi il autorise tout écclésiastique qui prête serment à la nouvelle constitution à célébrer le culte. Il autorise aussi l'ouverture des églises et le repos le dimanche. De nombreux prêtres refractaires vont ainsi revenir d'exil.

Avec l'élection du pape Pie VII, Bonaparte décide de prolonger ce rapprochement, à la fois pour résoudre la crise religieuse en France mais aussi pour éloigner les catholiques français du parti royaliste. Après de longues négociations, le concordat est signé, il réglera les relations entre l'Etat et l'Eglise catholique jusqu'en 1905. La religion catholique devient celle «de la grande majorité des Français» à défaut d'être religion d'Etat. La nomination des évêques est désormais le fait du chef de l'Etat, le pape accordant ensuite l'institution canonique. Bonaparte demande au varois Jean-Etienne-Marie Portalis, rédacteur du code civil, de préciser les termes du Concordat en y rajoutant une série de réglements très contraignants devant régler en détail la vie de l'Eglise de France. Ces "articles organiques" ne seront jamais acceptés par le Saint-Siège puisqu'ils vont limiter au strict minimum les relations entre évêques français et le pape.

 

 

https://archives.var.fr/article.php?laref=11112&titre=extrait-du-recueil-des-lois-de-1802-contenant-les-articles-du-concordat-passe-entre-napoleon-bonaparte-et-le-pape-pie-vii-page-1-
Tout le contenu des pages du site Internet
Extrait du recueil des lois de 1802 contenant les articles du concordat passé entre Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII (page 2)
Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Extrait du recueil des lois de 1802 contenant les articles du concordat passé entre Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII (page 2)

L'arrivée au pouvoir de Bonaparte en tant que Premier Consul en 1799 se caractérise par une volonté de réchauffement entre la papauté et le Pouvoir. Ainsi il autorise tout écclésiastique qui prête serment à la nouvelle constitution à célébrer le culte. Il autorise aussi l'ouverture des églises et le repos le dimanche. De nombreux prêtres refractaires vont ainsi revenir d'exil.

Avec l'élection du pape Pie VII, Bonaparte décide de prolonger ce rapprochement, à la fois pour résoudre la crise religieuse en France mais aussi pour éloigner les catholiques français du parti royaliste. Après de longues négociations, le concordat est signé, il réglera les relations entre l'Etat et l'Eglise catholique jusqu'en 1905. La religion catholique devient celle «de la grande majorité des Français» à défaut d'être religion d'Etat. La nomination des évêques est désormais le fait du chef de l'Etat, le pape accordant ensuite l'institution canonique. Bonaparte demande au varois Jean-Etienne-Marie Portalis, rédacteur du code civil, de préciser les termes du Concordat en y rajoutant une série de réglements très contraignants devant régler en détail la vie de l'Eglise de France. Ces "articles organiques" ne seront jamais acceptés par le Saint-Siège puisqu'ils vont limiter au strict minimum les relations entre évêques français et le pape.

https://archives.var.fr/article.php?laref=11113&titre=extrait-du-recueil-des-lois-de-1802-contenant-les-articles-du-concordat-passe-entre-napoleon-bonaparte-et-le-pape-pie-vii-page-2-
Tout le contenu des pages du site Internet
Extrait du recueil des lois de 1802 contenant les articles du concordat passé entre Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII (page 3)
Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Extrait du recueil des lois de 1802 contenant les articles du concordat passé entre Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII (page 3)

L'arrivée au pouvoir de Bonaparte en tant que Premier Consul en 1799 se caractérise par une volonté de réchauffement entre la papauté et le Pouvoir. Ainsi il autorise tout écclésiastique qui prête serment à la nouvelle constitution à célébrer le culte. Il autorise aussi l'ouverture des églises et le repos le dimanche. De nombreux prêtres refractaires vont ainsi revenir d'exil.

Avec l'élection du pape Pie VII, Bonaparte décide de prolonger ce rapprochement, à la fois pour résoudre la crise religieuse en France mais aussi pour éloigner les catholiques français du parti royaliste. Après de longues négociations, le concordat est signé, il réglera les relations entre l'Etat et l'Eglise catholique jusqu'en 1905. La religion catholique devient celle «de la grande majorité des Français» à défaut d'être religion d'Etat. La nomination des évêques est désormais le fait du chef de l'Etat, le pape accordant ensuite l'institution canonique. Bonaparte demande au varois Jean-Etienne-Marie Portalis, rédacteur du code civil, de préciser les termes du Concordat en y rajoutant une série de réglements très contraignants devant régler en détail la vie de l'Eglise de France. Ces "articles organiques" ne seront jamais acceptés par le Saint-Siège puisqu'ils vont limiter au strict minimum les relations entre évêques français et le pape.

https://archives.var.fr/article.php?laref=11114&titre=extrait-du-recueil-des-lois-de-1802-contenant-les-articles-du-concordat-passe-entre-napoleon-bonaparte-et-le-pape-pie-vii-page-3-
Tout le contenu des pages du site Internet
Extrait du recueil des lois de 1802 contenant les articles du concordat passé entre Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII (page 4)
Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Extrait du recueil des lois de 1802 contenant les articles du concordat passé entre Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII (page 4)

L'arrivée au pouvoir de Bonaparte en tant que Premier Consul en 1799 se caractérise par une volonté de réchauffement entre la papauté et le Pouvoir. Ainsi il autorise tout écclésiastique qui prête serment à la nouvelle constitution à célébrer le culte. Il autorise aussi l'ouverture des églises et le repos le dimanche. De nombreux prêtres refractaires vont ainsi revenir d'exil.

Avec l'élection du pape Pie VII, Bonaparte décide de prolonger ce rapprochement, à la fois pour résoudre la crise religieuse en France mais aussi pour éloigner les catholiques français du parti royaliste. Après de longues négociations, le concordat est signé, il réglera les relations entre l'Etat et l'Eglise catholique jusqu'en 1905. La religion catholique devient celle «de la grande majorité des Français» à défaut d'être religion d'Etat. La nomination des évêques est désormais le fait du chef de l'Etat, le pape accordant ensuite l'institution canonique. Bonaparte demande au varois Jean-Etienne-Marie Portalis, rédacteur du code civil, de préciser les termes du Concordat en y rajoutant une série de réglements très contraignants devant régler en détail la vie de l'Eglise de France. Ces "articles organiques" ne seront jamais acceptés par le Saint-Siège puisqu'ils vont limiter au strict minimum les relations entre évêques français et le pape.

https://archives.var.fr/article.php?laref=11115&titre=extrait-du-recueil-des-lois-de-1802-contenant-les-articles-du-concordat-passe-entre-napoleon-bonaparte-et-le-pape-pie-vii-page-4-
Tout le contenu des pages du site Internet
Extrait du recueil des lois de 1802 contenant les articles du concordat passé entre Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII (page 5)
Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Extrait du recueil des lois de 1802 contenant les articles du concordat passé entre Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII (page 5)

L'arrivée au pouvoir de Bonaparte en tant que Premier Consul en 1799 se caractérise par une volonté de réchauffement entre la papauté et le Pouvoir. Ainsi il autorise tout écclésiastique qui prête serment à la nouvelle constitution à célébrer le culte. Il autorise aussi l'ouverture des églises et le repos le dimanche. De nombreux prêtres refractaires vont ainsi revenir d'exil.

Avec l'élection du pape Pie VII, Bonaparte décide de prolonger ce rapprochement, à la fois pour résoudre la crise religieuse en France mais aussi pour éloigner les catholiques français du parti royaliste. Après de longues négociations, le concordat est signé, il réglera les relations entre l'Etat et l'Eglise catholique jusqu'en 1905. La religion catholique devient celle «de la grande majorité des Français» à défaut d'être religion d'Etat. La nomination des évêques est désormais le fait du chef de l'Etat, le pape accordant ensuite l'institution canonique. Bonaparte demande au varois Jean-Etienne-Marie Portalis, rédacteur du code civil, de préciser les termes du Concordat en y rajoutant une série de réglements très contraignants devant régler en détail la vie de l'Eglise de France. Ces "articles organiques" ne seront jamais acceptés par le Saint-Siège puisqu'ils vont limiter au strict minimum les relations entre évêques français et le pape.

https://archives.var.fr/article.php?laref=11116&titre=extrait-du-recueil-des-lois-de-1802-contenant-les-articles-du-concordat-passe-entre-napoleon-bonaparte-et-le-pape-pie-vii-page-5-
Tout le contenu des pages du site Internet
Extrait du recueil des lois de 1802 contenant les articles du concordat passé entre Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII (page 6)
Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Extrait du recueil des lois de 1802 contenant les articles du concordat passé entre Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII (page 6)

L'arrivée au pouvoir de Bonaparte en tant que Premier Consul en 1799 se caractérise par une volonté de réchauffement entre la papauté et le Pouvoir. Ainsi il autorise tout écclésiastique qui prête serment à la nouvelle constitution à célébrer le culte. Il autorise aussi l'ouverture des églises et le repos le dimanche. De nombreux prêtres refractaires vont ainsi revenir d'exil.

Avec l'élection du pape Pie VII, Bonaparte décide de prolonger ce rapprochement, à la fois pour résoudre la crise religieuse en France mais aussi pour éloigner les catholiques français du parti royaliste. Après de longues négociations, le concordat est signé, il réglera les relations entre l'Etat et l'Eglise catholique jusqu'en 1905. La religion catholique devient celle «de la grande majorité des Français» à défaut d'être religion d'Etat. La nomination des évêques est désormais le fait du chef de l'Etat, le pape accordant ensuite l'institution canonique. Bonaparte demande au varois Jean-Etienne-Marie Portalis, rédacteur du code civil, de préciser les termes du Concordat en y rajoutant une série de réglements très contraignants devant régler en détail la vie de l'Eglise de France. Ces "articles organiques" ne seront jamais acceptés par le Saint-Siège puisqu'ils vont limiter au strict minimum les relations entre évêques français et le pape.

https://archives.var.fr/article.php?laref=11117&titre=extrait-du-recueil-des-lois-de-1802-contenant-les-articles-du-concordat-passe-entre-napoleon-bonaparte-et-le-pape-pie-vii-page-6-
Tout le contenu des pages du site Internet
Extrait du recueil des lois de 1802 contenant les articles du concordat passé entre Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII (page 7)
Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Extrait du recueil des lois de 1802 contenant les articles du concordat passé entre Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII (page 7)

L'arrivée au pouvoir de Bonaparte en tant que Premier Consul en 1799 se caractérise par une volonté de réchauffement entre la papauté et le Pouvoir. Ainsi il autorise tout écclésiastique qui prête serment à la nouvelle constitution à célébrer le culte. Il autorise aussi l'ouverture des églises et le repos le dimanche. De nombreux prêtres refractaires vont ainsi revenir d'exil.

Avec l'élection du pape Pie VII, Bonaparte décide de prolonger ce rapprochement, à la fois pour résoudre la crise religieuse en France mais aussi pour éloigner les catholiques français du parti royaliste. Après de longues négociations, le concordat est signé, il réglera les relations entre l'Etat et l'Eglise catholique jusqu'en 1905. La religion catholique devient celle «de la grande majorité des Français» à défaut d'être religion d'Etat. La nomination des évêques est désormais le fait du chef de l'Etat, le pape accordant ensuite l'institution canonique. Bonaparte demande au varois Jean-Etienne-Marie Portalis, rédacteur du code civil, de préciser les termes du Concordat en y rajoutant une série de réglements très contraignants devant régler en détail la vie de l'Eglise de France. Ces "articles organiques" ne seront jamais acceptés par le Saint-Siège puisqu'ils vont limiter au strict minimum les relations entre évêques français et le pape.

https://archives.var.fr/article.php?laref=11118&titre=extrait-du-recueil-des-lois-de-1802-contenant-les-articles-du-concordat-passe-entre-napoleon-bonaparte-et-le-pape-pie-vii-page-7-
Tout le contenu des pages du site Internet
Extrait du recueil des lois de 1802 contenant les articles du concordat passé entre Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII (page 8)
Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Extrait du recueil des lois de 1802 contenant les articles du concordat passé entre Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII (page 8)

L'arrivée au pouvoir de Bonaparte en tant que Premier Consul en 1799 se caractérise par une volonté de réchauffement entre la papauté et le Pouvoir. Ainsi il autorise tout écclésiastique qui prête serment à la nouvelle constitution à célébrer le culte. Il autorise aussi l'ouverture des églises et le repos le dimanche. De nombreux prêtres refractaires vont ainsi revenir d'exil.

Avec l'élection du pape Pie VII, Bonaparte décide de prolonger ce rapprochement, à la fois pour résoudre la crise religieuse en France mais aussi pour éloigner les catholiques français du parti royaliste. Après de longues négociations, le concordat est signé, il réglera les relations entre l'Etat et l'Eglise catholique jusqu'en 1905. La religion catholique devient celle «de la grande majorité des Français» à défaut d'être religion d'Etat. La nomination des évêques est désormais le fait du chef de l'Etat, le pape accordant ensuite l'institution canonique. Bonaparte demande au varois Jean-Etienne-Marie Portalis, rédacteur du code civil, de préciser les termes du Concordat en y rajoutant une série de réglements très contraignants devant régler en détail la vie de l'Eglise de France. Ces "articles organiques" ne seront jamais acceptés par le Saint-Siège puisqu'ils vont limiter au strict minimum les relations entre évêques français et le pape.

https://archives.var.fr/article.php?laref=11119&titre=extrait-du-recueil-des-lois-de-1802-contenant-les-articles-du-concordat-passe-entre-napoleon-bonaparte-et-le-pape-pie-vii-page-8-
Tout le contenu des pages du site Internet
Extrait du recueil des lois de 1802 contenant les articles du concordat passé entre Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII (page 9)
Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Extrait du recueil des lois de 1802 contenant les articles du concordat passé entre Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII (page 9)

L'arrivée au pouvoir de Bonaparte en tant que Premier Consul en 1799 se caractérise par une volonté de réchauffement entre la papauté et le Pouvoir. Ainsi il autorise tout écclésiastique qui prête serment à la nouvelle constitution à célébrer le culte. Il autorise aussi l'ouverture des églises et le repos le dimanche. De nombreux prêtres refractaires vont ainsi revenir d'exil.

Avec l'élection du pape Pie VII, Bonaparte décide de prolonger ce rapprochement, à la fois pour résoudre la crise religieuse en France mais aussi pour éloigner les catholiques français du parti royaliste. Après de longues négociations, le concordat est signé, il réglera les relations entre l'Etat et l'Eglise catholique jusqu'en 1905. La religion catholique devient celle «de la grande majorité des Français» à défaut d'être religion d'Etat. La nomination des évêques est désormais le fait du chef de l'Etat, le pape accordant ensuite l'institution canonique. Bonaparte demande au varois Jean-Etienne-Marie Portalis, rédacteur du code civil, de préciser les termes du Concordat en y rajoutant une série de réglements très contraignants devant régler en détail la vie de l'Eglise de France. Ces "articles organiques" ne seront jamais acceptés par le Saint-Siège puisqu'ils vont limiter au strict minimum les relations entre évêques français et le pape.

https://archives.var.fr/article.php?laref=11120&titre=extrait-du-recueil-des-lois-de-1802-contenant-les-articles-du-concordat-passe-entre-napoleon-bonaparte-et-le-pape-pie-vii-page-9-
Tout le contenu des pages du site Internet
Extrait du recueil des lois de 1802 contenant les articles du concordat passé entre Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII (page 10)
Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Extrait du recueil des lois de 1802 contenant les articles du concordat passé entre Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII (page 10)

L'arrivée au pouvoir de Bonaparte en tant que Premier Consul en 1799 se caractérise par une volonté de réchauffement entre la papauté et le Pouvoir. Ainsi il autorise tout écclésiastique qui prête serment à la nouvelle constitution à célébrer le culte. Il autorise aussi l'ouverture des églises et le repos le dimanche. De nombreux prêtres refractaires vont ainsi revenir d'exil.

Avec l'élection du pape Pie VII, Bonaparte décide de prolonger ce rapprochement, à la fois pour résoudre la crise religieuse en France mais aussi pour éloigner les catholiques français du parti royaliste. Après de longues négociations, le concordat est signé, il réglera les relations entre l'Etat et l'Eglise catholique jusqu'en 1905. La religion catholique devient celle «de la grande majorité des Français» à défaut d'être religion d'Etat. La nomination des évêques est désormais le fait du chef de l'Etat, le pape accordant ensuite l'institution canonique. Bonaparte demande au varois Jean-Etienne-Marie Portalis, rédacteur du code civil, de préciser les termes du Concordat en y rajoutant une série de réglements très contraignants devant régler en détail la vie de l'Eglise de France. Ces "articles organiques" ne seront jamais acceptés par le Saint-Siège puisqu'ils vont limiter au strict minimum les relations entre évêques français et le pape.

https://archives.var.fr/article.php?laref=11121&titre=extrait-du-recueil-des-lois-de-1802-contenant-les-articles-du-concordat-passe-entre-napoleon-bonaparte-et-le-pape-pie-vii-page-10-
Tout le contenu des pages du site Internet
Extrait du recueil des lois de 1802 contenant les articles du concordat passé entre Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII (page 11)
Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Extrait du recueil des lois de 1802 contenant les articles du concordat passé entre Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII (page 11)

L'arrivée au pouvoir de Bonaparte en tant que Premier Consul en 1799 se caractérise par une volonté de réchauffement entre la papauté et le Pouvoir. Ainsi il autorise tout écclésiastique qui prête serment à la nouvelle constitution à célébrer le culte. Il autorise aussi l'ouverture des églises et le repos le dimanche. De nombreux prêtres refractaires vont ainsi revenir d'exil.

Avec l'élection du pape Pie VII, Bonaparte décide de prolonger ce rapprochement, à la fois pour résoudre la crise religieuse en France mais aussi pour éloigner les catholiques français du parti royaliste. Après de longues négociations, le concordat est signé, il réglera les relations entre l'Etat et l'Eglise catholique jusqu'en 1905. La religion catholique devient celle «de la grande majorité des Français» à défaut d'être religion d'Etat. La nomination des évêques est désormais le fait du chef de l'Etat, le pape accordant ensuite l'institution canonique. Bonaparte demande au varois Jean-Etienne-Marie Portalis, rédacteur du code civil, de préciser les termes du Concordat en y rajoutant une série de réglements très contraignants devant régler en détail la vie de l'Eglise de France. Ces "articles organiques" ne seront jamais acceptés par le Saint-Siège puisqu'ils vont limiter au strict minimum les relations entre évêques français et le pape.

https://archives.var.fr/article.php?laref=11122&titre=extrait-du-recueil-des-lois-de-1802-contenant-les-articles-du-concordat-passe-entre-napoleon-bonaparte-et-le-pape-pie-vii-page-11-
Tout le contenu des pages du site Internet
Extrait du recueil des lois de 1802 contenant les articles du concordat passé entre Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII (page 12)
Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Extrait du recueil des lois de 1802 contenant les articles du concordat passé entre Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII (page 12)

L'arrivée au pouvoir de Bonaparte en tant que Premier Consul en 1799 se caractérise par une volonté de réchauffement entre la papauté et le Pouvoir. Ainsi il autorise tout écclésiastique qui prête serment à la nouvelle constitution à célébrer le culte. Il autorise aussi l'ouverture des églises et le repos le dimanche. De nombreux prêtres refractaires vont ainsi revenir d'exil.

Avec l'élection du pape Pie VII, Bonaparte décide de prolonger ce rapprochement, à la fois pour résoudre la crise religieuse en France mais aussi pour éloigner les catholiques français du parti royaliste. Après de longues négociations, le concordat est signé, il réglera les relations entre l'Etat et l'Eglise catholique jusqu'en 1905. La religion catholique devient celle «de la grande majorité des Français» à défaut d'être religion d'Etat. La nomination des évêques est désormais le fait du chef de l'Etat, le pape accordant ensuite l'institution canonique. Bonaparte demande au varois Jean-Etienne-Marie Portalis, rédacteur du code civil, de préciser les termes du Concordat en y rajoutant une série de réglements très contraignants devant régler en détail la vie de l'Eglise de France. Ces "articles organiques" ne seront jamais acceptés par le Saint-Siège puisqu'ils vont limiter au strict minimum les relations entre évêques français et le pape.

https://archives.var.fr/article.php?laref=11123&titre=extrait-du-recueil-des-lois-de-1802-contenant-les-articles-du-concordat-passe-entre-napoleon-bonaparte-et-le-pape-pie-vii-page-12-
Tout le contenu des pages du site Internet
Extrait du recueil des lois de 1802 contenant les articles du concordat passé entre Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII (page 13)
Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Extrait du recueil des lois de 1802 contenant les articles du concordat passé entre Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII (page 13)

L'arrivée au pouvoir de Bonaparte en tant que Premier Consul en 1799 se caractérise par une volonté de réchauffement entre la papauté et le Pouvoir. Ainsi il autorise tout écclésiastique qui prête serment à la nouvelle constitution à célébrer le culte. Il autorise aussi l'ouverture des églises et le repos le dimanche. De nombreux prêtres refractaires vont ainsi revenir d'exil.

Avec l'élection du pape Pie VII, Bonaparte décide de prolonger ce rapprochement, à la fois pour résoudre la crise religieuse en France mais aussi pour éloigner les catholiques français du parti royaliste. Après de longues négociations, le concordat est signé, il réglera les relations entre l'Etat et l'Eglise catholique jusqu'en 1905. La religion catholique devient celle «de la grande majorité des Français» à défaut d'être religion d'Etat. La nomination des évêques est désormais le fait du chef de l'Etat, le pape accordant ensuite l'institution canonique. Bonaparte demande au varois Jean-Etienne-Marie Portalis, rédacteur du code civil, de préciser les termes du Concordat en y rajoutant une série de réglements très contraignants devant régler en détail la vie de l'Eglise de France. Ces "articles organiques" ne seront jamais acceptés par le Saint-Siège puisqu'ils vont limiter au strict minimum les relations entre évêques français et le pape.

https://archives.var.fr/article.php?laref=11124&titre=extrait-du-recueil-des-lois-de-1802-contenant-les-articles-du-concordat-passe-entre-napoleon-bonaparte-et-le-pape-pie-vii-page-13-
Tout le contenu des pages du site Internet
Extrait du recueil des lois de 1802 contenant les articles du concordat passé entre Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII (page 14)
Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Extrait du recueil des lois de 1802 contenant les articles du concordat passé entre Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII (page 14)

L'arrivée au pouvoir de Bonaparte en tant que Premier Consul en 1799 se caractérise par une volonté de réchauffement entre la papauté et le Pouvoir. Ainsi il autorise tout écclésiastique qui prête serment à la nouvelle constitution à célébrer le culte. Il autorise aussi l'ouverture des églises et le repos le dimanche. De nombreux prêtres refractaires vont ainsi revenir d'exil.

Avec l'élection du pape Pie VII, Bonaparte décide de prolonger ce rapprochement, à la fois pour résoudre la crise religieuse en France mais aussi pour éloigner les catholiques français du parti royaliste. Après de longues négociations, le concordat est signé, il réglera les relations entre l'Etat et l'Eglise catholique jusqu'en 1905. La religion catholique devient celle «de la grande majorité des Français» à défaut d'être religion d'Etat. La nomination des évêques est désormais le fait du chef de l'Etat, le pape accordant ensuite l'institution canonique. Bonaparte demande au varois Jean-Etienne-Marie Portalis, rédacteur du code civil, de préciser les termes du Concordat en y rajoutant une série de réglements très contraignants devant régler en détail la vie de l'Eglise de France. Ces "articles organiques" ne seront jamais acceptés par le Saint-Siège puisqu'ils vont limiter au strict minimum les relations entre évêques français et le pape.

https://archives.var.fr/article.php?laref=11125&titre=extrait-du-recueil-des-lois-de-1802-contenant-les-articles-du-concordat-passe-entre-napoleon-bonaparte-et-le-pape-pie-vii-page-14-
Tout le contenu des pages du site Internet
Extrait du recueil des lois de 1802 contenant les articles du concordat passé entre Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII (page 15)
Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Extrait du recueil des lois de 1802 contenant les articles du concordat passé entre Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII (page 15)

L'arrivée au pouvoir de Bonaparte en tant que Premier Consul en 1799 se caractérise par une volonté de réchauffement entre la papauté et le Pouvoir. Ainsi il autorise tout écclésiastique qui prête serment à la nouvelle constitution à célébrer le culte. Il autorise aussi l'ouverture des églises et le repos le dimanche. De nombreux prêtres refractaires vont ainsi revenir d'exil.

Avec l'élection du pape Pie VII, Bonaparte décide de prolonger ce rapprochement, à la fois pour résoudre la crise religieuse en France mais aussi pour éloigner les catholiques français du parti royaliste. Après de longues négociations, le concordat est signé, il réglera les relations entre l'Etat et l'Eglise catholique jusqu'en 1905. La religion catholique devient celle «de la grande majorité des Français» à défaut d'être religion d'Etat. La nomination des évêques est désormais le fait du chef de l'Etat, le pape accordant ensuite l'institution canonique. Bonaparte demande au varois Jean-Etienne-Marie Portalis, rédacteur du code civil, de préciser les termes du Concordat en y rajoutant une série de réglements très contraignants devant régler en détail la vie de l'Eglise de France. Ces "articles organiques" ne seront jamais acceptés par le Saint-Siège puisqu'ils vont limiter au strict minimum les relations entre évêques français et le pape.

https://archives.var.fr/article.php?laref=11126&titre=extrait-du-recueil-des-lois-de-1802-contenant-les-articles-du-concordat-passe-entre-napoleon-bonaparte-et-le-pape-pie-vii-page-15-
Tout le contenu des pages du site Internet
Mise en ligne de 1046 images sur memoires-de-guerres.var.fr
Découvrir > Actualités > Actualités archivées > Mise en ligne et mise à jour du site > Mise en ligne de 1046 images sur memoires-de-guerres.var.fr

Les Archives départementales du Var ont renouvelé l'opération de la Grand Collecte en novembre 2016 en l'élargissant à l'ensemble des conflits contemporains. Les contributeurs sont venus nombreux pour donner ou prêter pour numérisation des documents familiaux de Varois en lien avec les conflits. Ces documents ont été numérisés et sont mis en ligne à partir du 10 mars sur le site des Archives départementales dédié à cet effet : www.memoires-de-guerres.var.fr

 Cette mise à jour intègre deux nouveaux conflits, à savoir des documents d'archives relatifs à la guerre de 1870-1871 ainsi qu'à la guerre d'Algérie.

 C'est au total 1046 images qui ont été numérisées puis mises en ligne sur le site. Ces documents peuvent être accompagnés d'un lien vers les 62000 fiches matricules indexées et/ou les fiches "Mort pour la France" du site Mémoires des hommes ainsi que d'une transcription intégrale comme c'est le cas pour les carnets de Jacques Meiffret.

Pour compléter ces fonds privés, les Archives départementales mettent également en ligne des documents publics particulièrement significatifs.

 La prochaine mise à jour viendra compléter la liste des conflits contemporains en intégrant des documents relatifs à la guerre d'Indochine.

Les Archives départementales du Var tiennent à remercier l'ensemble des contributeurs pour leur démarche.

 

Guerre de 1870-1871


Fonds d'archives de Jean BONHOMME du 114e régiment territorial d'infanterie (17 images) :

Ce fonds comprend son livret militaire, son certificat d'obtention de la médaille militaire de la campagne de 1870-1871 ainsi qu'une photographie d'une médaille militaire.

 

Guerre de 1914-1918


Carnets de note de Jacques MEIFFRET De
 Saint-Raphaël(15e Bataillon territorial du Génie) :

- Carnet de notes n°1 du 3 août 1914 au 20 octobre 1914 (38 images)

- Carnet de notes n°2 du 21 octobre 1914 au 24 décembre 1914 (48 images)

- Carnet de notes n°3 du 24 décembre 1914 au 9 mai 1915 (69 images)

- Carnet de notes n°4 du 10 mai 1915 au 10 octobre 1915 (96 images)

- Carnet de notes n°6 du 2 janvier 1916 au 5 mai 1916 (46 images)

- Carnet de notes n°7 du 6 mai 1916 au 14 novembre 1916 (65 images)

- Carnet de notes n°8 du 15 novembre 1916 au 10 avril 1917 (65 images)

- Carnet de notes n°9 du 19 avril 1917 au 3 septembre 1917 (48 images)

- Carnet de notes n°10 du 4 septembre 1917 au 22 janvier 1918 (53 images)

- Carnet de notes n°11 du 29 janvier 1918 au 7 mai 1918 (33 images)

- Carnet de notes n°12 du 8 mai 1918 au 9 décembre 1918 (73 images)


Fonds d'archives d'Emilien DUBOURG originaire d'Entrecasteaux (4e régiment d'infanterie coloniale) Mort pour la France le 8 avril 19145 (95 images) :

Ce fonds comprend de la correspondance familiale, des extraits d'articles de journaux, des photographies, un état signalétique etdes services ainsi que des photographies de ses médailles militaires.

Il participe aux batailles des Ardennes, de la Marne et de Champagne. il est porté disparu au nord de la forêt de Beauséjour à Minaucourt le 9 avril 1915.

Sans nouvelles depuis le 21 février, sa femme Célina entreprend des recherches tous azimuts. Elle collecte des articles de journaux, évocateurs de sa détresse et de son espoir :

Pensons aux soldats ; Les phrases que l’on entend ; la durée de la guerre ; Il ne faut pas désespérer ; Un disparu de 1914 arrive au Havre ; etc.

Elle écrit aux institutions civiles et militaires, à la Croix rouge…

La plaque d'identité militaire d'Emilien est retrouvée à Maisons de Champagne en octobre 1915 et Célina la reçoit le 24 février 1916 venant de la Croix rouge de Berlin!

Le 13 mars 1916, le ministre espagnol des affaires étrangères, lui adresse une lettre dans laquelle il lui signale que « L’ambassadeur de S[a] M[ajesté] me communique qu’il a rencontré sur les listes de la Croix rouge allemande un Emile Dubourg, matricule 554, classe 1909, comme mort, ignorant d’autres détails. »

Le 18 décembre 1918, elle écrit à un disparu "retrouvé" pour en savoir plus. Son fils est reconnu pupille de la Nation le 22 mai 1919 et le 1er avril 1920, elle réclame une pension.

 

Fonds d'archives de Victor PORREde Bargemon (4e régiment d'infanterie coloniale) (122 images) :

Ce fonds d'archives comprend un livret militaire, des photographies, le fascicule de mobilisation, des bons d'achat, un certificat de bonne conduite, des photographies de médailes militaires ainsi qu'un carnet de chansons.

 

Registre de délibérations de la commission extra-municipale de Cogolin concernant la guerre E dépôt 42/1D (38 images) :

Ce registre rassemble les délibérations communales relatives aux conséquences de la guerre : mobilisation, réquisitions, logement de victimes de guerre etc.

 

Guerre de 1939-1945


Rapport
s du préfet du Var au ministre de l'Intérieur :

- Rapport du préfet du Var au ministre de l'Intérieur sur la situation morale du département du Var pour la période du 1er décembre 1943 au 1er février 1944 (28 images)

- Rapport du préfet du Var au ministre de l'Intérieur sur la situation morale du département du Var pour la période du 1er février 1944 au 1er avril 1944 (16 images)

 

Carnet de notes appartenant à M. Meiffret, originaire de Saint-Raphaël (19 images) :

M. Meiffret était soldat à Gravelines pendant la "drôle de guerre". Son carnet s'étend du 2 septembre 1939 au 10 janvier 1940

 

Fonds d'archives d'Emile BEAUDUEN de La Verdière (STO) (35 images) :

- Témoignage manuscrit co-écrit par Emile BEAUDUEN, Lucien HUGUES, René MANETTI, Noël MANUEL lorsqu'ils travaillaient à Vienne (Autriche) dans une usine d'armement dans le cadre du service travail obligatoire (S.T.O) entre le 27 juillet 1943 et le 19 mai 1945.

- Recueil de poèmes de René Manetti

- Photographies d'Emile Beauduen


Fonds d'archives de Roger PORRE, F.F.I à Bargemon (21 images) :

Ce fonds comprend le livret militaire de Roger Porre, des cartes de ravitaillement, un certificat d'appartenance aux Forces Françaises de l'Intérieur, une attestation de particiaption à des actions de résistance, son certificat provisoire de démobilisation, un diplôme des Francs-Tireurs et Partisans Français, sa carte de combattant F.F.I ainsi qu'une autorisation de porter l'insigne F.F.I attribuée par la commission militaire du Conseil National de la Résistance

 

Guerre d'Algérie


Fonds d'archives de Jean-Louis SCURI, du 22e bataillon de chasseurs alpins (21 images) :

Ce fonds d'archives comprend un livret militaire, une reconnaissance de services rendus à la Nation, l'ordre de convocation sous les drapeaux, le certificat de présence au corps, le fascicule de mobilisation ainsi qu'une photographie.

Jean-Louis Scuri est né en Italie et réside à La Verdière. Il part en 1957 en Algérie à l'âge de 20 ans. Après guerre, il a travaillé pendant 20 ans à la Société du Canal du Midi puis au CEA à Cadarache en tant que soudeur. Il était membre de la FNACA et porte-drapeaux lors des commémorations.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

https://archives.var.fr/article.php?laref=11128&titre=mise-en-ligne-de-1046-images-sur-memoires-de-guerres-var-fr
Tout le contenu des pages du site Internet
Décret du 19 février 1806 instaurant la fête de la Saint Napoléon et le rétablissement de la religion catholique (1 K 48)
Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Décret du 19 février 1806 instaurant la fête de la Saint Napoléon et le rétablissement de la religion catholique (1 K 48)

Le 19 février 1806, Napoléon fait paraître un décret instituant la fête de Saint Napoléon ainsi que le rétablissement de la religion catholique.

La même année, il renforce sa domination sur l'Eglise en édictant un "catéchisme impérial". Celui-ci oblige le cergé de l'Empire à enseigner comme un acte de foi l'obéissance au pouvoir :

 

"Question : Quels sont les devoirs des chrétiens à l'égard du prince qui les gouverne, et quels sont en particulier nos devoirs envers Napoléon Ier, notre Empereur ?

Réponse : Les chrétiens doivent aux princes qui les gouvernent et [...] en particulier à Napoléon Ier, notre Empereur, l'amour, le respect, l'obéissance, la fidélité, le service militaire, les tributs ordonnés pour la conservation et la défense de l'Empire et de son trône ; nous lui devons encore des prières ferventes pour le salut et pour la prospérité spirituelle et temporelle de l'Etat [...] Honorer et servir notre Empereur est donc honorer et servir Dieu lui-même. [...]

Question : Que doit-on penser de ceux qui manqueraient à leur devoir envers notre Empereur ?

Réponse : Selon l'apôtre saint Paul, ils résisteraient à l'ordre établi de Dieu même et se rendraient dignes de la damnation éternelle."

 

https://archives.var.fr/article.php?laref=11129&titre=decret-du-19-fevrier-1806-instaurant-la-fete-de-la-saint-napoleon-et-le-retablissement-de-la-religion-catholique-1-k-48-
Tout le contenu des pages du site Internet
Décret de la commune de Paris instaurant la séparation de l'Eglise et de l'Etat
Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Décret de la commune de Paris instaurant la séparation de l'Eglise et de l'Etat

Ce décret, datant du 3 avril 1871, n'a pu être concrétisé puisque la commune de Paris a été écrasée lors de la "semaine sanglante" du 21-28 mai 1871.

https://archives.var.fr/article.php?laref=11131&titre=decret-de-la-commune-de-paris-instaurant-la-separation-de-l-eglise-et-de-l-etat
Tout le contenu des pages du site Internet
Caricature émanant du journal satyrique "Le grelot" datée de 1892
Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Caricature émanant du journal satyrique "Le grelot" datée de 1892

A partir de 1879, une nouvelle majorité républicaine prend le pouvoir. Outre des lois scolaires, le gouvernement fait voter une série de lois : laïcisation des pompes funèbres, des hôpitaux, des cimetières, rétablissement du divorce etc.

Après cette phase d'offensive anticléricale, la situation s'apaise. De 1893 à 1898, les Républicains au pouvoir sont soucieux d'obtenir un rapprochement avec les catholiques : Eugène Spuller, alors ministre des Cultes prône en 1894 un "esprit nouveau de tolérance".

Du côté catholique, la politique de ralliement à la République débute par le fameux "toast d'Alger" en 1890 où le cardinal Lavigerie, archevêque d'Alger prend la parole devant un groupe d'officiers de la marine française. Il appelle les catholiques à accepter la République en déclarant :

 

« Quand la volonté d'un peuple s'est légalement affirmée, quand la forme d'un gouvernement n'a rien de contraire aux principes qui seuls peuvent faire vivre les nations chrétiennes et civilisées ; quand, pour tenter d'arracher son pays aux abîmes qui les menacent, il faut l'adhésion à cette forme de gouvernement, le moment vient de déclarer, enfin, l'épreuve faite [...]»

Ce célèbre toast marque le début de la politique de Ralliement du Saint-Siège à la République confirmée en 1892 par l'encyclique de Léon XIII intitulée Au milieu des sollicitudes. Cette tentative de rapprochement va être stoppée net par l'affaire Dreyfus faisant réapparaître la fracture entre catholiques et laïcs.

https://archives.var.fr/article.php?laref=11132&titre=caricature-emanant-du-journal-satyrique-le-grelot-datee-de-1892
Tout le contenu des pages du site Internet
Portrait de Pierre Waldeck-Rousseau
Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Portrait de Pierre Waldeck-Rousseau

Pierre Waldeck-Rousseau président du Conseil, républicain (1899-1902) fait voter la loi 1901 sur les associations avec son titre III sur les congrégations :

Article 13 :

Toute congrégation religieuse peut obtenir la reconnaissance légale par décret rendu sur avis conforme du Conseil d'Etat ; les dispositions relatives aux congrégations antérieurement autorisées leur sont applicables. La reconnaissance légale pourra être accordée à tout nouvel établissement congréganiste en vertu d'un décret en Conseil d'Etat.

Article 14 :

Nul n'est admis à diriger, soit directement, soit par personne interposée, un établissement d'enseignement, de quelque ordre qu'il soit, ni à y donner l'enseignement, s'il appartient à une congrégation religieuse non autorisée. 

https://archives.var.fr/article.php?laref=11133&titre=portrait-de-pierre-waldeck-rousseau
Tout le contenu des pages du site Internet
Affiche de Gustave Jossot pour le lancement du journal "L'Action quotidienne, anticléricale, républicaine, socialiste" 1903.
Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Affiche de Gustave Jossot pour le lancement du journal "L'Action quotidienne, anticléricale, républicaine, socialiste" 1903.

Le journal L'Action quotidienne, anticléricale, républicaine, socialiste lance une campagne pour le 17 mai 1903 pour demander la séparation des Églises et de l'État.

https://archives.var.fr/article.php?laref=11135&titre=affiche-de-gustave-jossot-pour-le-lancement-du-journal-l-action-quotidienne-anticlericale-republicaine-socialiste-1903-
Tout le contenu des pages du site Internet
Arrêté municipal de la commune d'Entrecasteaux interdisant les processions daté du 13 juin 1904 (E dépôt 38/268)
Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Arrêté municipal de la commune d'Entrecasteaux interdisant les processions daté du 13 juin 1904 (E dépôt 38/268)

D'autres communes comme Draguignan feront de même : Félicien Clavier, maire de Draguignan interdit les processions le 5 septembre 1902.

https://archives.var.fr/article.php?laref=11136&titre=arrete-municipal-de-la-commune-d-entrecasteaux-interdisant-les-processions-date-du-13-juin-1904-e-depot-38-268-
Tout le contenu des pages du site Internet
Photographie du fronton de l'église d'Aups
Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Photographie du fronton de l'église d'Aups

En février 1848, la Seconde République décide officiellement que la formule « Liberté, Egalité, Fraternité » sera la devise de la France. Ainsi, à partir de cette période, certaines municipalités, pour bien montrer la mise au pas du clergé, décident d'inscrire la devise sur les frontons des églises. Ces inscriptions n'ont pourtant fait dans le Var l'objet de presque aucune délibération communale. Une des seules références connues est cet article de presse datant de 1882, montrant ainsi que ces inscriptions ne datent pas seulement de 1905.

En France, une centaine d'églises sont gravées de la devise, essentiellement dans le Midi, le Centre et Paris alors que ni la Bretagne ni la Corse n'en possèdent.

 

Cliché Joël Levillain

https://archives.var.fr/article.php?laref=11137&titre=photographie-du-fronton-de-l-eglise-d-aups
Tout le contenu des pages du site Internet
Photographie du fronton de l'église de Barjols
Découvrir > Expositions virtuelles > Exposition virtuelle consacrée à l'histoire de la laïcité > Photographie du fronton de l'église de Barjols

En février 1848, la Seconde République décide officiellement que la formule « Liberté, Egalité, Fraternité » sera la devise de la France. Ainsi, à partir de cette période, certaines municipalités, pour bien montrer la mise au pas du clergé, décident d'inscrire la devise sur les frontons des églises. Ces inscriptions n'ont pourtant fait dans le Var l'objet de presque aucune délibération communale. Une des seules références connues est cet article de presse datant de 1882, montrant ainsi que ces inscriptions ne datent pas seulement de 1905.

En France, une centaine d'églises sont gravées de la devise, essentiellement dans le Midi, le Centre et Paris alors que ni la Bretagne ni la Corse n'en possèdent.

 

Cliché Joël Levillain

https://archives.var.fr/article.php?laref=11138&titre=photographie-du-fronton-de-l-eglise-de-barjols
Résultats 26 à 50 sur 1 171 : Résultats par page :
Trier par :  
Afficher/masquer