Les anciens habitants sont les seuls à pouvoir témoigner.

Ces témoignages sont les garants de l'histoire de villages disparus.

Brovès a été exproprié lors de l'arrivée du camp militaire de Canjuers et le village est aujourd'hui en ruine.

Les Salles-sur-Verdon, a été reconstruit et l'ancien village est sous les eaux du lac de Sainte-Croix, après la construction des barrages.

A écouter sur www.memoire-orale.var.fr

Le jeudi 19 avril 2018 à 18h

A travers l'exemple de 15 Dracénois, engagés ou mobilisés dans l'artillerie, le Lieutenant-colonel Philippe Guyot, artilleur de 1ère classe d'honneur, Conservateur du Musée de l'Artillerie - Musée de France, présentera l'évolution de l'artillerie durant la Grande Guerre, depuis le sacrifice de la première offensive devant Dieuze jusqu'au succès de la prise de Saint-Quentin en 1918.

Vernissage le jeudi 19 avril, à 16h30, suivi d'un cocktail.

Exposition présentée du 19 avril au 30 juin 2018

Cette exposition sur panneaux, coproduite avec le Musée des Arts et Traditions populaires de Draguignan, nous replonge dans le quotidien des Varois pendant la Grande Guerre, de l'annonce de la mobilisation le 2 aoît 1914 à l'armistice le 11 novembre 1918. De la propagande aux réquisitions, du travail des femmes à la solidarité des Varois, venez revivre les moments forts de "l'arrière".

RE-garder. Jules Meurey (1888-1972) - Un patrimoine photographique en relief

Exposition présentée du 05 octobre 2017 au 15 mars 2018

Commissaires d'exposition : Joël Levillain et Thierry Bertrand

Cette exposition invite le public à découvrir un fonds photographique donné au Département du Var par la famille de Jules Meurey, photographe ayant exercé à Six-Fours des années 30 aux années 50.

Né à Nancy en 1888, Jules Meurey exerce le métier de coiffeur, puis de marchand de lunettes avant de se consacrer entièrement à la photographie. Il débute dans les Vosges puis s'installe à Six-Fours avec sa famille en 1933. Jules Meurey a fait de la photographie son activité professionnelle. Mais il réalise aussi des clichés pour lui-même, au gré de ses déplacements, de ses excursions ou de ses vacances en famille. C'est ce riche fonds personnel de plus de 4 000 photographies que la famille Meurey a donné aux Archives départementales. Cette collection est essentiellement composée de plaques de verre stéréoscopiques, un procédé qui permet de donner l'illusion du relief. Jules Meurey est resté fidèle à cette techniquejusqu'aux années 1950.

Dès l'entrée dans la salle d'exposition, le public sera plongé dans l'univers d'un photographe des années 30 grâce à la reconstitution de quatre lieux emblématiques : vitrine, atelier de prise de vues, laboratoire et présentation de ses plus beaux tirages.

Les images présentées dans de cette exposition sont les plus significatives de notre département, de la région mais également de ses nombreux voyages à travers la France. Elles nous emmènent des paysages et scènes de Lorraine et d'Alsace du début des années 1920 jusqu'aux villes et rivages du Var, en passant par les Alpes ou la Bretagne.

Du Var, Jules Meurey donne une image essentiellement pittoresque et riante, s'attachant surtout au bord de mer, saisissant les scènes d'une vie quotidienne traditionnelle (ports, pêche, métiers anciens) ou des débuts de la société des loisirs (plages et baignades, excursions, passage du tour de France...). Il s'intéresse aussi aux paysages du littoral et de l'arrière pays, aux monuments, aux ouvrages d'art.

Une série de photographies des destructions de Toulon après les bombardements de 1944 se distingue toutefois par sa rareté et sa tonalité plus dramatique.

Pour resituer la technique utilisée par Jules Meurey, le visiteur se voit aussi proposer de (re)découvrir l'histoire de la photographie argentique à travers une frise chronologique agrémentée d'appareils photographiques anciens. Il pourra aussi expérimenter par lui-même l'ancêtre de la vision en relief au moyen d'appareils stéréoscopiques d'époque mais également de lunettes 3D.

Quelles archives collecter aujourd’hui et transmettre demain aux générations futures ? Les Archives de France organisent à ce propos une consultation publique en ligne, qui se déroule du 16 avril au 16 juin

En effet, le récent rapport de la vice-présidente du Conseil supérieur des archives, Christine Nougaret, intitulé « Une stratégie nationale pour la collecte et l'accès aux archives publiques à l'ère numérique », invite à s’interroger sur les moyens, les principes, les méthodes et les résultats de la collecte des archives. Dans le même temps, les usagers demandent une plus grande transparence sur les processus de tri, de sélection et d’élimination menés par les archivistes.

Producteurs d’archives, archivistes, historiens, usagers, élus, citoyens, construisons ensemble les propositions dont la mise en œuvre permettra de garantir la constitution et la transmission d’un patrimoine archivistique riche, diversifié et exploitable.

Participez ! Rejoignez-nous sur :

http://assembl-civic.bluenove.com/archivespourdemain

Engagé dans la Marine Nationale le 20 juillet 1942, il part de Toulon pour appareiller à Marseille sur le paquebot "Sidi Bel Abbès" en direction d'Oran. Il arrive le 27 juillet à Casablanca où il est embarqué sur le cuirassé "Jean Bart". Le 8 novembre 1942, les Américains, dans le cadre de l'opération Torch, débarquent en Afrique du nord. Yves L'Hénaff est alors blessé lors du bombardement du "Jean Bart" par l'aviation américaine. Il raconte avec détails cet événement historique non sans amertume :

"Je me rappelle bien ces heures d'angoisses que nous passâmes, moi et mes camarades. Casablanca, ce n'est pas bien Dakar, ni Mers-el-Kébir, mais pire et plus honteux de la part de nos chefs. Ce n'était autre, cette alerte, que la force outre-Atlantique, les américains, qui venaient pour nous aider à chasser l'allemand de France. Mais, hélas, nos chefs, par Vichy étaient Pétainisés et nazifiés et nous, pauvres bougres impuissants, étions contraints de nous battre avec nos alliés".

 Après avoir été intégré aux forces navales française libres, il embarque le 30 mars 1943 à bord du tropilleur "Tempête" en tant que mécanicien direction Boston via par les Bermudes. De retour en Afrique du nord, il participe à la libération de la Corse toujours sur le "Tempête". Il paraît avoir aussi participé au débarquement de Provence sans que cela soit toutefois mentionné dans son carnet.

Le carnet de bord est accompagné d'un brouillon dans lequel sont dessinées différentes cartes dont celle du débarquement de Provence.

Pour consulter ce document, cliquez sur le lien suivant et complétez le champ "personne, auteur" avec le nom : L'Hénaff Yves

Cette conférence, basée sur l'étude d'actes notariés du XVIe siècle, dont les contrats de mègerie, va nous permettre de découvrir dans quel but était pratiquée l'apiculture à cette époque et qui étaient les apiculteurs d'alors.

Avec une démonstration de ruches.

Conférencier: Jacques Poujol, Président du Rucher-école du Var (section Var Est)

Date et heure: Le jeudi 24 mai à 18h, Auditorium du Pôle culturel Chabran

Lieu: Auditorium du Pôle culturel Chabran

Entrée libre

 Renseignements: 04.83.95.83.32

Comment le Var traverse-t-il les derniers mois de la guerre ? Comment réagit-il à l’annonce de la victoire ? Quel impact la guerre a-t-elle dans un département qui, certes, a eu la chance d’être situé loin du front, mais qui n’en a pas moins souffert comme les autres départements de “l’arrière” ? Le Var compte ses morts, ses blessés et ses mutilés, ses veuves et ses orphelins dont les premières associations défendent les intérêts. La joie de la victoire et la gloire de Clemenceau ne font pas oublier l’humiliation des attaques lancées contre le XVe Corps. La vague nationaliste se heurte au pacifisme que l’interminable et sanglant conflit a fait naître. La lassitude, les problèmes dus à l’économie de guerre, la difficile sortie de guerre des démobilisés, les incertitudes sur l’avenir déchirent le consensus qui avait accompagné la mobilisation et perduré longtemps. La vie politique en est bouleversée. Les monuments aux morts que chaque commune érige sont là pour rappeler le traumatisme que cette guerre a engendré et dont les conséquences se feront sentir longtemps après. 

Conférencier: Jean-marie GUILLON, historien, professeur des universités émérite

Date et heure: Le jeudi 7 juin 2018 à 18h

Lieu: Auditorium du Pôle culturel Chabran, 660, boulevard Kennedy, Draguignan

Entrée libre

Renseignements: 04.83.95.83.32

Dans le cadre de la Journée internationale des Archives, le Département et les Archives départementales vous convient aux

Journées des Archives 2018

Découvrez les archives départementales du Var, leurs trésors et leurs métiers à travers trois journées de visites et d’animations :

Initiez-vous à la généalogie, la photographie et la calligraphie, à la recherche sur internet, à la sélection des archives de demain

Partagez, apprenez, lisez : collecte et expertise historique d’archives privées, conférence, lecture d’archives partagée

Échangez et contribuez à enrichir l’offre des Archives départementales sur internet

Venez nombreux et découvrez le programme.

Fille de grutier, femme de soudeur, d'ingénieur, de tourneur, femme de ménage, secrétaire, assistante sociale, responsable syndicale ...., ces femmes ont toutes eu un lien avec les chantiers navals de la Seyne-sur-Mer. Elles nous racontent le métier de leur père, de leur mari ou le leur. Elles nous racontent les vies professionnelles, sociales et syndicales de milliers de travailleurs des chantiers navals.

47 témoins qui outre leurs mémoires des chantiers, évoquent la vie à la Seyne des années 20 aux années 2000.

Qu'elles soient sénagalaises, guinéennes, algériennes, tunisiennes ou italiennes, ces témoignages sont également pour ces femmes l'occasion de parler de leur arrivée en France et leur intégration à la Seyne.

A écouter et lire (quand il y a les transcriptions) sur www.memoire-orale.var.fr

La mise en ligne de ce fonds est en lien avec l'association Histoire et Patrimoine Seynois qui a donné les enregistrements aux Archives départementales du Var et qui vient de publier l'ouvrage "C'est le silence qui me dérangeait. Etre femme au temps de la construction navale à La Seyne-sur-Mer", 2018, édition Charlemagne.

Note explicative sur le calcul du tarif de réutilisation et la mise à disposition des données publiques issues des opérations de numérisation par les Archives départementales

A. Le calcul du plafond annuel des redevances

1. Les principes de tarification fixés par la loi

cf . Code des relations entre le public et l'administration.

1.1. Article L324-2 du CRPA

« La réutilisation peut également donner lieu au versement d'une redevance lorsqu'elle porte sur des informations issues des opérations de numérisation des fonds et des collections des bibliothèques, y compris des bibliothèques universitaires, des musées et des archives, et, le cas échéant, sur des informations qui y sont associées lorsque ces dernières sont commercialisées conjointement. Le produit total du montant de cette redevance, évalué sur une période comptable appropriée, ne dépasse pas le montant total des coûts de collecte, de production, de mise à disposition ou de diffusion, de conservation de leurs informations et d'acquisition des droits de propriété intellectuelle. »

1.2. Article L324-3 

« Le montant des redevances mentionnées aux articles L. 324-1 et L. 324-2est fixé selon des critères objectifs, transparents, vérifiables et non discriminatoires. Ce montant est révisé au moins tous les cinq ans. »

1.3. Article R 324-4-3 du CRPA

« Le montant total des coûts prévus à l'article L. 324-2 est apprécié sur la base de la moyenne de ces coûts calculée sur les trois derniers exercices budgétaires ou comptables. Toutefois, les coûts liés aux opérations de numérisation et d'acquisition des droits de propriété intellectuelle peuvent être appréciés sur la base de la moyenne de ces coûts calculée au maximum sur les dix derniers exercices budgétaires ou comptables. »

2. Application au Département du Var : éléments pris en compte

2.1. Les coûts liés à la numérisation (moyenne annuelle calculée sur les dix années précédentes)

- Opérations de numérisation externalisées sur 10 ans (hors montant des subventions obtenues dans ce cadre) ;

- Acquisition d'un numériseur en 2013 (59034,56 HT) : amortissable sur 5 ans, soit 11 806 euros de 2014 à 2017, puis 11 810,56 en 2018.

2.2. Les coûts de conservation des fichiers-images et de leurs métadonnées (moyenne annuelle calculée sur les 3 années précédentes)

- un serveur 20 To acquis en 2015 par la DTSI (7700 HT), amortissable sur 5 ans, soit 1540 euros de 2016 à 2020.

2.3. Les coûts de diffusion (moyenne annuelle calculée sur les 3 années précédentes)

- un coût de 600 euros/mois auprès du prestataire DRI (soit 7200 euros par an) depuis août 2013.

- une prestation de service de 1100 euros HT en mai 2015 pour extension baie de disque

B. Tableau détaillé servant de calcul à la moyenne annuelle des dépenses du Département pour la numérisation

Le plafond annuel fixé est donc de 54 171 euros par an.

C. Calcul du prix par vue et par an

L’estimation du nombre de vues numérisées par les Archives départementales est de 4 000 000. Le coût maximal à la vue pour un réutilisateur est donc de 0,013 euros par vue et par an.

Le service interministériel des Archives de France préconise de tenir compte de l’hypothèse de 5 réutilisateurs simultanés. Le coût maximal à l'image dans l'hypothèse de 5 réutilisateurs simultanés est de : 0,0027 euros.

Le tarif retenu est de : 0,0025 euros/vue et par an.

Tarifs pour la réutilisation commerciale des données publiques issues des opérations de numérisation par les Archives départementales du Var

1. Dispositions générales

Base de calcul des tarifs de réutilisation

Les tarifs proposés dans le présent document s’entendent TTC et prennent en compte les coûts intrinsèques liés à la demande de réutilisation d’une information publique, calculés conformément au plafond fixé par l'article R 324-4-3 du Code des Relations du Public avec l'administration  :

- le coût moyen des opérations de numérisation (sur 10 ans)

- le coût moyen de collecte, de conservation, de diffusion et de mise à disposition (sur 3 ans)

Détermination de l’unité de tarification

L’unité de tarification est la vue. Cette unité de tarification est, d’une part, homogène et, d’autre part, facilement évaluable et applicable à toute catégorie de demande de réutilisation d’informations publiques.

2. Tarifs

Ces tarifs s’appliquent aux documents issus des opérations de numérisation par les Archives départementales, sauf les archives privées, dans le cas où leur entrée aux Archives départementales est assortie de restrictions en matière d’accès ou de réutilisation. On entend par réutilisation commerciale toute réutilisation d’informations publiques en vue de l’élaboration soit d’un produit ou d’un service destiné à être mis à disposition d’un tiers à titre onéreux, soit d’un service mis gratuitement à disposition d’un tiers mais générant des bénéfices.

2.1. Jusqu’à 1 000 vues

Publication dans un ouvrage ou périodique papier :

• Image insérée au texte : 15 € la vue
• Image pleine page : 30 € la vue
• Image en première ou dernière de couverture : 50 € la vue
• Les publications papier au tirage inférieur à 1000 exemplaires et reproduisant moins de 10 vues, excepté les produits publicitaires, sont exonérées de droits de réutilisation.
• Les droits de réutilisation liés aux publications papier font l’objet d’une majoration de :

+ 100 % pour les tirages supérieurs à 3 000 exemplaires

+ 200 % pour les tirages supérieurs à 10 000 exemplaires

+ 1000 % pour les tirages supérieurs à 100 000 exemplaires

• Publication sur support multimédia (cédérom, film, etc.) : 40 € la vue.

• Produits publicitaires et de promotion, produits divers (calendriers, agendas, cartes de vœux, cartes postales, affiches – hors expositions à l’accès gratuit –, etc.) : 275 € la vue.

• Autres utilisations : exonéré jusqu'à 1 000 vues

2.2. Au-delà de 1 000 vues

A l'occasion des Journées européennes du Patrimoine, nous recevrons nos visiteurs le samedi 15 septembre à partir de 14h autour de visites guidées, d'ateliers et de la programmation d'une pièce de théâtre à l'auditorium.

Pour consulter le programme, veuillez cliquer sur le lien

A l'occasion des Journées du Patrimoine et de la commémoration du centenaire de la Grande Guerre, les Archives départementales du Var vous offrent votre place pour assister au spectacle "Aux chants d'honneur, chants d'horreur", interprété par la compagnie Le Praticable. A ne pas manquer!

Descriptif:

Trois musiciens pendant la Première Guerre mondiale, trois univers qui se côtoient et s'entrechoquent. Le jeu, la musique, les chants sont intimement mêlés. Des chansons de guerre, patriotiques ou bluettes sentimentales qui viennent remplacer le verbe parlé quand la parole se fait insuffisante. L'histoire commence par un baptême et se termine par un enterrement, avec un mariage entre les deux, symboliquement les trois étapes marquant la vie d'un homme, pour ne pas oublier que la vie continue loin du front.

Aditorium du Pôle culturel Chabran, Draguignan

Entrée libre.

Renseignements: Emmanuelle Fittoussi. 04.83.95.83.32

Blessures d'archives, rêve d'éternité

Les archives, témoins privilégiés de notre passé, peuvent subir de nombreuses dégradations dues aux insectes, à la moisissure, aux inondations, à la lumière, aux manipulations...Comment les préserver? Comment réparer les dégâts occasionnés? C'est ce que cette exposition se propose de dévoiler. 

Exposition présentée du 11 octobre 2018 au 15 mars 2019

Inventée à la fin du XIXe siècle, l’automobile a profondément renouvelé et façonné notre environnement et nos modes de vie. Dans le Var, traversé par de grands axes de circulation, elle est intimement liée au développement du tourisme et de la mobilité, à l’aménagement du territoire et à la passion sportive. C’est aussi le fléau de la pollution, des embouteillages, des accidents. Entre passé et avenir, liberté et contrainte, haine, passion ou nostalgie, les Archives départementales proposent de (re)decouvrir son histoire et ses usages à travers un itinéraire balisé de documents inédits, objets et témoignages.

Inventée à la fin du XIXe siècle, l’automobile a profondément renouvelé et façonné notre environnement et nos modes de vie. Dans le Var, traversé par de grands axes de circulation, elle est intimement liée au développement du tourisme et de la mobilité, à l’aménagement du territoire et à la passion sportive. C’est aussi le fléau de la pollution, des embouteillages, des accidents. Entre passé et avenir, liberté et contrainte, haine, passion ou nostalgie, les Archives départementales proposent de (re)decouvrir son histoire et ses usages à travers un itinéraire balisé de documents inédits, objets et témoignages.

La thématique du sport automobile est l'occasion de nous fait redécouvrir le circuit mythique du Castellet, les très populaires courses de côte d'Ampus et le rallye féminin du Paris-Saint-Raphaël.

Dans les années 1960, avant la construction de l'autoroute, les embouteillages dans les villages varois sont le fléau de nombreux vacanciers. Aujourd'hui ces bouchons disparus renaissent sur un mode festif et nostalgique, à l'instar du bouchon de Tourves. C'est l'histoire que nous fait revivre l'association Nationale 7 historique Provence.

Les témoignages sont consultablent intégralement sur le site memoire-orale.var.fr (Onglet : Parcourir tous les fonds / Sport / Vie politique et associative)

Produite de 1947 à 1961, la 4CV demeure le symbole français de l'automobile à la portée du plus grand nombre. Venez découvrir l'histoire passionnante de ce véhicule emblématique!

Conférencier: Jacques Perrin et Jean Georgenthum, passionnés de voitures anciennes 

Date et heure: le jeudi 18 octobre 2018, à 18h

Lieu: Auditorium du Pôle culturel Chabran

Entrée libre

De la Première Guerre mondiale, la mémoire collective garde l'image d'une entrée en force des femmes dans le monde du travail et de leur émancipation.Image à nuancer cependant, puisque bien avant la guerre, elles formaient déjà plus du tiers de la population active française. Mais il est vrai qu'à partir de l'été 1914, elles sont appelées à remplacer les hommes mobilisés, en particulier dans les usines d'armement.

En 1917, c'est principalement à l'arsenal de Toulon, et plus précisément à la Pyrotechnie, que plusieurs milliers de varoises travaillent.

Que sait-on de ces femmes? Peu de choses. Les familles ont parfois gardé le souvenir de ces mères ou de ces grands-mères qui ont pris part, avec courage, à l'effort de guerre. Mais ces souvenirs s'effacent progressivement...

Cette présentation a pour but d'aller à leur rencontre et de montrer un aspect du rôle joué par les femmes dans notre région au cours du premier conflit mondial.

Les Archives départementales accueillent, exceptionnellement, Mme Bois Poteur du Centre d'étude et de diffusion du patrimoine immatériel Pays de Grasse qui donnera une conférence intitulée "Les habitants du Haut-Var durant le XIXème siècle".

Les Archives départementales ont mis en place le Responsive Design : le site principal (archives.var.fr) et Mémoires de guerres du Var (memoires-de-guerres.var.fr) s'adaptent maintenant à tous les écrans, du plus petit (smartphone) au plus grand (ordinateur de bureau avec très grand écran).

La visualisation s'adapte à chaque écran pour une meilleure lisibilité des sites. La recherche dans les formulaires, la lecture, l'accès aux menus sont facilités et les pages s'adaptent à la dimension de l'écran sur lequel vous consultez les sites.

Bonne navigation !