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FondsIntituléTypeLieuxContenuDateDétail
Mémoires de Guerres
La déclaration de guerre de 1914 et l'armisticetémoignage oralCarcès (Var, France)
https://memoires-de-guerres.var.fr/arkotheque/client/ad_var/memoires_de_guerres/fiche_detail.php?ref=10859
Mémoires de Guerres
Monument aux morts de Bargemonlieu de mémoireBargemon (Var, France)

Le monument se présente sous la forme d'un bloc de pierre monolithe supportant un poilu montant la garde.

 

Extrait de l'ouvrage de Sylvie Mattone-Vastel et Georges Meissonnier : L'Art et la mémoire de 1914-1918 dans le Var, Commission Départementale de l'Information Historique pour la Paix, 1988.

1921 - 1921https://memoires-de-guerres.var.fr/arkotheque/client/ad_var/memoires_de_guerres/fiche_detail.php?ref=11311
Mémoires de Guerres
Monument aux morts de Callaslieu de mémoireCallas (Var, France)

Il s'agît d'un obélisque massif orné d'une Croix de guerre et d'une guirlande de feuilles de chêne

Les diverses inscriptions sont gravées sur les 4 faces.

 

Tiré de l'ouvrage de Sylvie Mattone-Vastel et Georges Meissonnier : L'Art et la mémoire de 1914-1918 dans le Var, Commission Départementale de l'Information Historique pour la Paix, 1988.

31/12/1922 - 31/12/1922https://memoires-de-guerres.var.fr/arkotheque/client/ad_var/memoires_de_guerres/fiche_detail.php?ref=11315
Mémoires de Guerres
Monument aux morts de Camps-la-sourcelieu de mémoireCamps-la-Source (Var, France)

Le monument aux morts de Camps-la-source représente un pseudo-portique consitué de 2 colonnes ioniques. Dans le cimetière, un mur sert de support aux plaques individuelles en fonte émaillée et signale le caveau des disparus de 1914-1918.

 

Tiré de l'ouvrage de Sylvie Mattone-Vastel et Georges Meissonnier : L'Art et la mémoire de 1914-1918 dans le Var, Commission Départementale de l'Information Historique pour la Paix, 1988.

1921 - 1921https://memoires-de-guerres.var.fr/arkotheque/client/ad_var/memoires_de_guerres/fiche_detail.php?ref=12823
Mémoires de Guerres
Journal de guerre d'André Sénéquierdocument numériséLe Muy (Var, France)

André Sénéquier est né le 24 février 1875 au Muy (Var), fils d’Eugène, quincailler et de Perrimond Agathe. Décédé en 1962 à Figanières (Domaine Les Courneirèdes) où il avait pris sa retraite chez sa fille et son gendre, le Dr André Gayrard. André Sénéquier succèdera à son père Eugène dans le commerce (voir pièce jointe « Maison de Quincaillerie fondée en 1863 »). Il épouse Marthe Victor, fille de pâtissier, à Fréjus, et aura deux filles : Aimée (1909), ma marraine, et France (2 avril 1915), ma mère.

André était classé dans les Services annexes en raison de sa myopie. Il porta toute sa vie des lorgnons en pince-nez. Il en parlera lorsque, au volant de son camion, l’eau qui les recouvraient sans cesse l’empêchait de voir.

Malgré sa myopie, André Sénéquier est appelé au Service armé le 8 janvier 1915, comme soldat de 2e classe et versé dans le Service auto le 17 mars : 8e escadron du Train 425. Pendant son absence, deux de ses sœurs, Joséphine et Césarie, tiendront le magasin (RdC) et occuperont la maison familiale (1er et 2e étage) du Muy. Son frère cadet, Louis, instituteur, était aussi au front et sera blessé, gardant une invalidité et quelques troubles du caractère.

Le journal est tenu très soigneusement, sur de minces feuilles 18,5 x 13,5 cm, quadrillées, pliées en deux et paginées avec des reprises en 1915, puis repris de façon continue à partir de 1916. L’écriture, à l’encre un peu pâlie, est penchée et habituellement très lisible. Les faits, les lieux, les dates et même ses repas sont précisés avec minutie quasi-comptable. Mais il ne commente pas ses permissions. Le contenu est factuel, assorti de réflexions et de courtes descriptions. Il est toujours prêt à s’émerveiller de ces lieux qu’il découvre, quitte à ne plus trouver que des ruines d’un village qu’il avait traversé la veille.

Aide-conducteur, puis conducteur, ses missions consisteront à apporter du matériel (bois et obus le plus souvent, fournitures...) aux première lignes, comme à Verdun, parfois des troupes ou des blessés. Il sera constamment exposé au feu de l’artillerie et aux intempéries, dort peu et mal, parfois-même dans son camion. Le mot « canonnade » est celui qui revient le plus souvent sous sa plume. On peut se demander si ce vacarme, énorme et continu, et ces éclatements parfois proches n’ont pas été cause d’un traumatisme auditif, car il finira sa vie complètement sourd.

A ce texte manuscrit est joint son carnet militaire, couverture verte, rivetée, en bon état et 5 photographies, dont 2 où ni lui ni son frère Louis ne sont présents : des inconnus...

Il croise des généraux, comme Foch et Mangin, reçoit le baptême de l’air dans un bombardier Voisin, grâce à son gendre Jean Brienne, aviateur. Il note les mutineries de juin 17, et ne se plaint vraiment que d’une certaine désorganisation et de l’attitude des officiers, qu’il traite régulièrement « d’embusqués ». Il écrit peu sur l’année 1918 et il existe une lacune (pages perdues ?) entre juin et octobre de cette année-là. De longues lignes sont consacrées à l’offensive allemande de mai 1918 et à l’exode des réfugiés. Le 11 novembre « les délégués boches ont signé l’armistice ... la triste tragédie qui dure depuis 4 ans 4 mois est terminée. » écrit-il. Au retour des prisonniers par bateau, il se trouve choqué : « pas une ovation ... chez ces gens froids du Nord, pas un signe de bienvenue à ces malheureux qui viennent d’endurer toutes les souffrances par les fautes de la société. » (p. 183). A noter que lors du refus d’un ordre qui lui paraissait inacceptable, on l’avait jadis traité de « méridional ! bien sûr... ».

22/8/1915 - 25/11/1918https://memoires-de-guerres.var.fr/arkotheque/client/ad_var/memoires_de_guerres/fiche_detail.php?ref=13192
Mémoires de Guerres
Livret militaire d'André Sénéquierdocument numériséLe Muy (Var, France)

André Sénéquier est né le 24 février 1875 au Muy (Var), fils d’Eugène, quincailler et de Perrimond Agathe. Décédé en 1962 à Figanières (Domaine Les Courneirèdes) où il avait pris sa retraite chez sa fille et son gendre, le Dr André Gayrard. André Sénéquier succèdera à son père Eugène dans le commerce (voir pièce jointe « Maison de Quincaillerie fondée en 1863 »). Il épouse Marthe Victor, fille de pâtissier, à Fréjus, et aura deux filles : Aimée (1909), ma marraine, et France (2 avril 1915), ma mère.

André était classé dans les Services annexes en raison de sa myopie. Il porta toute sa vie des lorgnons en pince-nez. Il en parlera lorsque, au volant de son camion, l’eau qui les recouvraient sans cesse l’empêchait de voir.

Malgré sa myopie, André Sénéquier est appelé au Service armé le 8 janvier 1915, comme soldat de 2e classe et versé dans le Service auto le 17 mars : 8e escadron du Train 425. Pendant son absence, deux de ses sœurs, Joséphine et Césarie, tiendront le magasin (RdC) et occuperont la maison familiale (1er et 2e étage) du Muy. Son frère cadet, Louis, instituteur, était aussi au front et sera blessé, gardant une invalidité et quelques troubles du caractère.

Aide-conducteur, puis conducteur, ses missions consisteront à apporter du matériel (bois et obus le plus souvent, fournitures...) aux première lignes, comme à Verdun, parfois des troupes ou des blessés. Il sera constamment exposé au feu de l’artillerie et aux intempéries, dort peu et mal, parfois-même dans son camion. Le mot « canonnade » est celui qui revient le plus souvent sous sa plume. On peut se demander si ce vacarme, énorme et continu, et ces éclatements parfois proches n’ont pas été cause d’un traumatisme auditif, car il finira sa vie complètement sourd.

Il croise des généraux, comme Foch et Mangin, reçoit le baptême de l’air dans un bombardier Voisin, grâce à son gendre Jean Brienne, aviateur. Il note les mutineries de juin 17, et ne se plaint vraiment que d’une certaine désorganisation et de l’attitude des officiers, qu’il traite régulièrement « d’embusqués ». Il écrit peu sur l’année 1918 et il existe une lacune (pages perdues ?) entre juin et octobre de cette année-là. De longues lignes sont consacrées à l’offensive allemande de mai 1918 et à l’exode des réfugiés. Le 11 novembre « les délégués boches ont signé l’armistice ... la triste tragédie qui dure depuis 4 ans 4 mois est terminée. » écrit-il. Au retour des prisonniers par bateau, il se trouve choqué : « pas une ovation ... chez ces gens froids du Nord, pas un signe de bienvenue à ces malheureux qui viennent d’endurer toutes les souffrances par les fautes de la société. » (p. 183). A noter que lors du refus d’un ordre qui lui paraissait inacceptable, on l’avait jadis traité de « méridional ! bien sûr... ».

1895 - 1921https://memoires-de-guerres.var.fr/arkotheque/client/ad_var/memoires_de_guerres/fiche_detail.php?ref=13193
Mémoires de Guerres
Correspondance d'Edouard Jourdan du 163e régiment d'infanteriedocument numériséDraguignan (Var, France)

Edouard Jourdan est originaire de Vidauban. Son père, François Jourdan, y tenait une bouchonnerie. Edouard comme son frère y travaillaient avant guerre.

Edouard Jourdan était sergent  à la 8e compagnie du 163e régiment d'infanterie. Il meurt le 6 avril 1915 et est enterré dans un champ avec d'autres soldats. Les ossements auraient été déterrées "en vrac" et inhumés à Flirey (Meurthe-et-Moselle).

Ses archives comprennent :

- une photographie

- plusieurs lettres

- 2 lettres de ses amis après sa mort où il est question de la bravoure d'Edouard Jourdan.

1914 - 1915https://memoires-de-guerres.var.fr/arkotheque/client/ad_var/memoires_de_guerres/fiche_detail.php?ref=13194
Mémoires de Guerres
Journal de route d'Antoine Baudoin 1914-1919document numériséSaint-Raphaël (Var, France)
1914 - 1919https://memoires-de-guerres.var.fr/arkotheque/client/ad_var/memoires_de_guerres/fiche_detail.php?ref=13199
Mémoires de Guerres
Premier carnet de guerre de Roger Rebstock (1914-1915)document numériséToulon (Var, France)

Roger Rebstock est né le 16 décembre 1894 à Aix-en-Provence. Il demeure au début de la guerre à Toulon, au 56 de la rue Gimelli. Engagé volontaire pour trois ans à la mairie du 7ème arrondissement de Paris. Il est incorporé au 112e régiment d'infanterie le 7 avril 1914. Il est blessé au combat de Bidestroff (Moselle) le 20 août 1914 pour être ensuite évacué sur Dieuze. Guéri, il rejoint les armées au combat de Lamath - Xermaménil le 31 août 1914. Il est nommé soldat de 1ère classe le 5 octobre 1914. Il est de nouveau blessé dans le secteur d'Audromont le 8 mai 1916 et est évacué sur l'hôpital de Souilly.

Le 28 septembre 1917, il est affecté au dépôt du 112e régiment d'infanterie de Toulon avant d'être dirigé sur Brest le 17 décembre 1918 en qualité de secrétaire.

Il est mis en congé illimité de démobilisation et rayé des contrôles le 7 septembre 1919. Il se retire alors à Toulon, 56 de la rue Gimelli.

Il reçoit la croix de guerre (4 étoiles de bronze) et il est cité quatre fois pour bravoure : "Agent de liaison du chef de corps, soldat éprouvé d'un dévouement sans borne, d'un sang froid absolu. Au cours de l'attaque du 15 décembre 1916 et dans les jours qui ont suivi, a assuré de jour et de nuit la liaison entre le chef de corps et les différents postes de commandement malgré les bombardements les plus violents" (rapport du régiment n° 544 du 27/12/1916).

Rapport du régiment n° 973 du 30/06/1918 : "Agent de liaison très courageux aux combats du 9 au 13 juin 1918, a assuré avec un dévouement inlassable la liason entre le chef de corps et les chefs de bataillon sous des feux violents d'artillerie".

Rapport du régiment n° 1043 du 12/9/1918 : "Agent de liaison du chef de corps aux commandes d'unités pendant les combats d'août 1918 et notamment du 26 au 31 août est allén sans répit, jour et nuit, surmontant toutes fatigues et traversant tous terrains découverts, transmettre malgré les tirs d'artillerie et de mitrailleuse les ordres et renseignements. S'est acquitté de ses missions avec un dévouement inlassable et magnifique".

Après la guerre, il déménage à Strasbourg en 1919 et à Montpellier en 1939.

1914 - 1915https://memoires-de-guerres.var.fr/arkotheque/client/ad_var/memoires_de_guerres/fiche_detail.php?ref=13236
Mémoires de Guerres
Deuxième carnet de guerre de Roger Rebstock (1915-1916)document numériséToulon (Var, France)

Roger Rebstock est né le 16 décembre 1894 à Aix-en-Provence. Il demeure au début de la guerre à Toulon, au 56 de la rue Gimelli. Engagé volontaire pour trois ans à la mairie du 7ème arrondissement de Paris. Il est incorporé au 112e régiment d'infanterie le 7 avril 1914. Il est blessé au combat de Bidestroff (Moselle) le 20 août 1914 pour être ensuite évacué sur Dieuze. Guéri, il rejoint les armées au combat de Lamath - Xermaménil le 31 août 1914. Il est nommé soldat de 1ère classe le 5 octobre 1914. Il est de nouveau blessé dans le secteur d'Audromont le 8 mai 1916 et est évacué sur l'hôpital de Souilly.

Le 28 septembre 1917, il est affecté au dépôt du 112e régiment d'infanterie de Toulon avant d'être dirigé sur Brest le 17 décembre 1918 en qualité de secrétaire.

Il est mis en congé illimité de démobilisation et rayé des contrôles le 7 septembre 1919. Il se retire alors à Toulon, 56 de la rue Gimelli.

Il reçoit la croix de guerre (4 étoiles de bronze) et il est cité quatre fois pour bravoure : "Agent de liaison du chef de corps, soldat éprouvé d'un dévouement sans borne, d'un sang froid absolu. Au cours de l'attaque du 15 décembre 1916 et dans les jours qui ont suivi, a assuré de jour et de nuit la liaison entre le chef de corps et les différents postes de commandement malgré les bombardements les plus violents" (rapport du régiment n° 544 du 27/12/1916).

Rapport du régiment n° 973 du 30/06/1918 : "Agent de liaison très courageux aux combats du 9 au 13 juin 1918, a assuré avec un dévouement inlassable la liason entre le chef de corps et les chefs de bataillon sous des feux violents d'artillerie".

Rapport du régiment n° 1043 du 12/9/1918 : "Agent de liaison du chef de corps aux commandes d'unités pendant les combats d'août 1918 et notamment du 26 au 31 août est allén sans répit, jour et nuit, surmontant toutes fatigues et traversant tous terrains découverts, transmettre malgré les tirs d'artillerie et de mitrailleuse les ordres et renseignements. S'est acquitté de ses missions avec un dévouement inlassable et magnifique".

Après la guerre, il déménage à Strasbourg en 1919 et à Montpellier en 1939.

1915 - 1916https://memoires-de-guerres.var.fr/arkotheque/client/ad_var/memoires_de_guerres/fiche_detail.php?ref=13237
Mémoires de Guerres
Troisième carnet de guerre de Roger Rebstock (1917-1918)document numériséToulon (Var, France)

Roger Rebstock est né le 16 décembre 1894 à Aix-en-Provence. Il demeure au début de la guerre à Toulon, au 56 de la rue Gimelli. Engagé volontaire pour trois ans à la mairie du 7ème arrondissement de Paris. Il est incorporé au 112e régiment d'infanterie le 7 avril 1914. Il est blessé au combat de Bidestroff (Moselle) le 20 août 1914 pour être ensuite évacué sur Dieuze. Guéri, il rejoint les armées au combat de Lamath - Xermaménil le 31 août 1914. Il est nommé soldat de 1ère classe le 5 octobre 1914. Il est de nouveau blessé dans le secteur d'Audromont le 8 mai 1916 et est évacué sur l'hôpital de Souilly.

Le 28 septembre 1917, il est affecté au dépôt du 112e régiment d'infanterie de Toulon avant d'être dirigé sur Brest le 17 décembre 1918 en qualité de secrétaire.

Il est mis en congé illimité de démobilisation et rayé des contrôles le 7 septembre 1919. Il se retire alors à Toulon, 56 de la rue Gimelli.

Il reçoit la croix de guerre (4 étoiles de bronze) et il est cité quatre fois pour bravoure : "Agent de liaison du chef de corps, soldat éprouvé d'un dévouement sans borne, d'un sang froid absolu. Au cours de l'attaque du 15 décembre 1916 et dans les jours qui ont suivi, a assuré de jour et de nuit la liaison entre le chef de corps et les différents postes de commandement malgré les bombardements les plus violents" (rapport du régiment n° 544 du 27/12/1916).

Rapport du régiment n° 973 du 30/06/1918 : "Agent de liaison très courageux aux combats du 9 au 13 juin 1918, a assuré avec un dévouement inlassable la liason entre le chef de corps et les chefs de bataillon sous des feux violents d'artillerie".

Rapport du régiment n° 1043 du 12/9/1918 : "Agent de liaison du chef de corps aux commandes d'unités pendant les combats d'août 1918 et notamment du 26 au 31 août est allén sans répit, jour et nuit, surmontant toutes fatigues et traversant tous terrains découverts, transmettre malgré les tirs d'artillerie et de mitrailleuse les ordres et renseignements. S'est acquitté de ses missions avec un dévouement inlassable et magnifique".

Après la guerre, il déménage à Strasbourg en 1919 et à Montpellier en 1939.

1917 - 1918https://memoires-de-guerres.var.fr/arkotheque/client/ad_var/memoires_de_guerres/fiche_detail.php?ref=13238
Mémoires de Guerres
Photographies de Roger Rebstockdocument numériséToulon (Var, France)

Roger Rebstock est né le 16 décembre 1894 à Aix-en-Provence. Il demeure au début de la guerre à Toulon, au 56 de la rue Gimelli. Engagé volontaire pour trois ans à la mairie du 7ème arrondissement de Paris. Il est incorporé au 112e régiment d'infanterie le 7 avril 1914. Il est blessé au combat de Bidestroff (Moselle) le 20 août 1914 pour être ensuite évacué sur Dieuze. Guéri, il rejoint les armées au combat de Lamath - Xermaménil le 31 août 1914. Il est nommé soldat de 1ère classe le 5 octobre 1914. Il est de nouveau blessé dans le secteur d'Audromont le 8 mai 1916 et est évacué sur l'hôpital de Souilly.

Le 28 septembre 1917, il est affecté au dépôt du 112e régiment d'infanterie de Toulon avant d'être dirigé sur Brest le 17 décembre 1918 en qualité de secrétaire.

Il est mis en congé illimité de démobilisation et rayé des contrôles le 7 septembre 1919. Il se retire alors à Toulon, 56 de la rue Gimelli.

Il reçoit la croix de guerre (4 étoiles de bronze) et il est cité quatre fois pour bravoure : "Agent de liaison du chef de corps, soldat éprouvé d'un dévouement sans borne, d'un sang froid absolu. Au cours de l'attaque du 15 décembre 1916 et dans les jours qui ont suivi, a assuré de jour et de nuit la liaison entre le chef de corps et les différents postes de commandement malgré les bombardements les plus violents" (rapport du régiment n° 544 du 27/12/1916).

Rapport du régiment n° 973 du 30/06/1918 : "Agent de liaison très courageux aux combats du 9 au 13 juin 1918, a assuré avec un dévouement inlassable la liason entre le chef de corps et les chefs de bataillon sous des feux violents d'artillerie".

Rapport du régiment n° 1043 du 12/9/1918 : "Agent de liaison du chef de corps aux commandes d'unités pendant les combats d'août 1918 et notamment du 26 au 31 août est allén sans répit, jour et nuit, surmontant toutes fatigues et traversant tous terrains découverts, transmettre malgré les tirs d'artillerie et de mitrailleuse les ordres et renseignements. S'est acquitté de ses missions avec un dévouement inlassable et magnifique".

Après la guerre, il déménage à Strasbourg en 1919 et à Montpellier en 1939.

1914 - 1918https://memoires-de-guerres.var.fr/arkotheque/client/ad_var/memoires_de_guerres/fiche_detail.php?ref=13239
Mémoires de Guerres
Livret militaire de Roger Rebstockdocument numériséToulon (Var, France)

Roger Rebstock est né le 16 décembre 1894 à Aix-en-Provence. Il demeure au début de la guerre à Toulon, au 56 de la rue Gimelli. Engagé volontaire pour trois ans à la mairie du 7ème arrondissement de Paris. Il est incorporé au 112e régiment d'infanterie le 7 avril 1914. Il est blessé au combat de Bidestroff (Moselle) le 20 août 1914 pour être ensuite évacué sur Dieuze. Guéri, il rejoint les armées au combat de Lamath - Xermaménil le 31 août 1914. Il est nommé soldat de 1ère classe le 5 octobre 1914. Il est de nouveau blessé dans le secteur d'Audromont le 8 mai 1916 et est évacué sur l'hôpital de Souilly.

Le 28 septembre 1917, il est affecté au dépôt du 112e régiment d'infanterie de Toulon avant d'être dirigé sur Brest le 17 décembre 1918 en qualité de secrétaire.

Il est mis en congé illimité de démobilisation et rayé des contrôles le 7 septembre 1919. Il se retire alors à Toulon, 56 de la rue Gimelli.

Il reçoit la croix de guerre (4 étoiles de bronze) et il est cité quatre fois pour bravoure : "Agent de liaison du chef de corps, soldat éprouvé d'un dévouement sans borne, d'un sang froid absolu. Au cours de l'attaque du 15 décembre 1916 et dans les jours qui ont suivi, a assuré de jour et de nuit la liaison entre le chef de corps et les différents postes de commandement malgré les bombardements les plus violents" (rapport du régiment n° 544 du 27/12/1916).

Rapport du régiment n° 973 du 30/06/1918 : "Agent de liaison très courageux aux combats du 9 au 13 juin 1918, a assuré avec un dévouement inlassable la liason entre le chef de corps et les chefs de bataillon sous des feux violents d'artillerie".

Rapport du régiment n° 1043 du 12/9/1918 : "Agent de liaison du chef de corps aux commandes d'unités pendant les combats d'août 1918 et notamment du 26 au 31 août est allén sans répit, jour et nuit, surmontant toutes fatigues et traversant tous terrains découverts, transmettre malgré les tirs d'artillerie et de mitrailleuse les ordres et renseignements. S'est acquitté de ses missions avec un dévouement inlassable et magnifique".

Après la guerre, il déménage à Strasbourg en 1919 et à Montpellier en 1939.

1914 - 1918https://memoires-de-guerres.var.fr/arkotheque/client/ad_var/memoires_de_guerres/fiche_detail.php?ref=13240
Mémoires de Guerres
Carnet de route. - Souvenirs de la campagne 1914 appartenant à Moïse Dauphin, caporal au 3ème zouavesdocument numériséFlayosc (Var, France)

Moïse est né le 25 octobre 1893 à Flayosc.

1914 - 1914https://memoires-de-guerres.var.fr/arkotheque/client/ad_var/memoires_de_guerres/fiche_detail.php?ref=13241
Mémoires de Guerres
Correspondance de Victor-Louis Dauphindocument numérisé

Victor-Louis Dauphin est né le 28 novembre 1884. Il faisait partie du 163e régiment d'infanterie. Il est décédé à la tranchée Barroi, au nord de de Flirey (Meurthe et Moselle) le 27 décembre 1915.

1914 - 1915https://memoires-de-guerres.var.fr/arkotheque/client/ad_var/memoires_de_guerres/fiche_detail.php?ref=13242
Mémoires de Guerres
Correspondance d'Henri Blancdocument numériséBrignoles (Var, France)
1914 - 1915https://memoires-de-guerres.var.fr/arkotheque/client/ad_var/memoires_de_guerres/fiche_detail.php?ref=13243
Mémoires de Guerres
Archives de Joseph Fauroux du 54e bataillon de chasseurs alpins (B.C.A)document numériséLa Garde (Var, France)

Ce dossier comprend deux photographies de Joseph Fauroux, une lettre de Joseph à ses parents ainsi que 3 lettres évoquant sa mort en août 1918.

1914 - 1918https://memoires-de-guerres.var.fr/arkotheque/client/ad_var/memoires_de_guerres/fiche_detail.php?ref=13244
Mémoires de Guerres
Archives de Félix Rebouldocument numériséCotignac (Var, France)

Félix Reboul est né le 9 janvier 1893 à Cotignac, il était soldat au 312e régiment d'infanterie, 4ème compagnie de mitrailleurs. Il meurt le 30 décembre 1916 dans l'ambulance à Blecrourt (Meuse) et est inhumé dans le cimetière militaire de cette même ville.

1914 - 1916https://memoires-de-guerres.var.fr/arkotheque/client/ad_var/memoires_de_guerres/fiche_detail.php?ref=13245
Mémoires de Guerres
Archives d'Etienne Ausivisié du 372e régiment d'infanteriedocument numérisé
https://memoires-de-guerres.var.fr/arkotheque/client/ad_var/memoires_de_guerres/fiche_detail.php?ref=13246
Mémoires de Guerres
Livret militaire de Gustave Fabredocument numériséLe Val (Var, France)

Gustave Fabre est né au Val le 21 mars 1882, il est le fils de Marius Fabre et de Marie Michel du Val.

 

Etudes :

 

Certificat d’études primaires au Val

Brevet supérieur à Brignoles

 

Activités :

 

Il rejoint le négoce en bestiaux de son père

 

Service militaire :

 

Classe 1902, il est engagé volontaire pour 3 ans le 9 juin 1903. Il est incorporé aux équipages de la flotte. Quartier-maître musicien de 2e classe le 15 juin 1903.

Au titre de musicien de la flotte, il navigue à travers le monde (photo de Yokohama) et participe à la campagne d’Extrême-Orient sur le Montcalm.

En 1906, il est renvoyé dans ses foyers le 27 avril 1906.

 

Activités de retour du service :

 

Il reprend alors ses activités de négoce au Val et dans la région. Il accomplit une période d’instruction au 4e régiment d’infanterie coloniale de 17 jours du 15 au 31 mai 1911.

 

En 1912, à la fête votive de Tourves, il rencontre Marceline Luquet de Rougiers (83).

Ils se marient le 28 août 1913 à la mairie de Rougiers.

Le 9 juillet 1914, naissance de son premier enfant, Fernand Fabre au Val.

 

Mobilisation :

Le 2 août 1914, il est rappelé à l’activité suite à l’ordre de mobilisation générale.

En septembre, il est à Toulon au 4e régiment d’infanterie coloniale du Mourillon.

Fin septembre, il part pour le front, près de Lille.

Le 6 octobre il est à Dixmude en Belgique.

En novembre, repli sur l’Oise, secteur de Gury-Cuvilly, Plessis-le-Roye.

En décembre, il est dans les tranchées de l’Oise au rythme de 3 jours au front.

En janvier 1915, il reçoit une photo de sa femme et de son fils.

En février, dans une lettre, Gustave dit ne pas douter de la loyauté de son épouse qui rencontre, elle, des difficultés relationnelles avec son beau-père veuf !

Le 20 février, il est dans les tranchées de Lassigny.

En mars, il est toujours dans les tranchées avec interdiction de faire mention du lieu où il se trouve sous peine de 15 jours d’emprisonnement.

Le 29 mars, il est blessé à la cheville : cheville de la malléole externe.

 

Convalescence :

 

Le 3 avril ,il écrit une lettre dans laquelle il relate l’accident.

Le 7, il écrit une lettre de Ricquebourg.

Le 10, il est évacué sur l’hôpital de l’arrière via Compiègne.

Le 12, il est en transit à Aubervilliers.

Le 13, il est de retour à Compiègne.

Le 14, il est en transit à Lisieux en route pour Deauville.

Le 16, arrivée à l’hôpital temporaire n° 31 (dans le Royal Hôtel).

En mai, il est toujours en soin à Deauville.

Le 20 juin ,arrivée à Trouville (Palace Hôtel) lit n° 668, il participe à l’animation musicale au sein de la société musicale « les enfants de la plage ».

 

Première permission :

 

Le 27 novembre, il obtient une permission de 7 jours, il s’agit de sa première depuis la mobilisation.

 

Retour au front :

 

Le 3 décembre, retour au front à Cuvilly.

Le 4, arrivée à Cherbourg (dépôt du 1er régiment d’infanterie coloniale du Maroc 23e compagnie).

Il devient caporal instructeur, il accueille les jeunes recrues à qui il enseigne la discipline, l’ordre, le respect, la propreté et les chants patriotiques.

Il passe Noël chez M. Patteyn, chef de la musique de Trouville.

Début mars, il continue de participer à l’incorporation des « bleus ».

Le 3 mars, il fait sa demande de relève aux colonies.

 

Deuxième permission :

 

Le 19 avril 1916, permission de 7 jours. Il se rend au Val, il retrouve son épouse et conçoit son 2ème enfant.

 

Départ pour l’Indochine :

 

Fin mars : départ de Marseille à bord du Magellan (messageries maritimes) à destination de l’Indochine.

En mai, escale à Port-Saïd, Djibouti, Colombo, Iles de la Sonde, Singapour, Saïgon, Haïphong. Arrivée le 1er juin. Activité militaire réduite. Participation active à la musique : orchestre, cérémonie, accordage des pianos.

Il cherche à travailler dans le milieu agricole sans succès. Plusieurs contact avec M.Courson de Besse… la vie militaire dans les tranchées lui semble bien loin.

Le 17 janvier, il est averti par dépêche de la naissance de sa fille Denise Fabre. Au cours de cette année, il projette de faire venir sa femme et ses enfants en Indochine et de s’y installer.

En fin d’année, il obtient son détachement de l’armée pour intégrer la société des Ciments Portland.

20 janvier 1918 : prise de fonction à la cimenterie. Il est logé, blanchi, a un « boy » pour la cuisine et perçoit 140 piastres par mois. Il devient maître-chaufournier.

Il ne sait plus rien de la guerre sauf dans les courriers de Marcelline où il apprend les difficultés d’approvisionnement en France.

En mai, il participe toujours au club musical local mais dans le courant du mois de mai, il ressent des douleurs abdominales et est souvent pris de vomissements.

Le 24 mai, il est admis à l’hôpital de Haïphong.

Le 17 juin, malgré les soins, il décède.

Le certificat médical définit une péritonite de l’arrière cavité des épiploons.

Marceline obtient le statut de veuve de guerre et obtiendra en 1922 l’ouverture d’un tabac à Rougiers.

1905 - 1918https://memoires-de-guerres.var.fr/arkotheque/client/ad_var/memoires_de_guerres/fiche_detail.php?ref=13263
Mémoires de Guerres
Correspondance de Gustave Fabre avant-guerredocument numériséLe Val (Var, France)

Gustave Fabre est né au Val le 21 mars 1882, il est le fils de Marius Fabre et de Marie Michel du Val.

 Etudes :

Certificat d’études primaires au Val

Brevet supérieur à Brignoles

 Activités :

Il rejoint le négoce en bestiaux de son père

 

Service militaire :

Classe 1902, il est engagé volontaire pour 3 ans le 9 juin 1903. Il est incorporé aux équipages de la flotte. Quartier-maître musicien de 2e classe le 15 juin 1903.

Au titre de musicien de la flotte, il navigue à travers le monde (photo de Yokohama) et participe à la campagne d’Extrême-Orient sur le Montcalm.

En 1906, il est renvoyé dans ses foyers le 27 avril 1906.

Activités de retour du service :

Il reprend alors ses activités de négoce au Val et dans la région. Il accomplit une période d’instruction au 4e régiment d’infanterie coloniale de 17 jours du 15 au 31 mai 1911.

 

En 1912, à la fête votive de Tourves, il rencontre Marceline Luquet de Rougiers (83).

Ils se marient le 28 août 1913 à la mairie de Rougiers.

Le 9 juillet 1914, naissance de son premier enfant, Fernand Fabre au Val.

30/6/1905 - 25/6/1914https://memoires-de-guerres.var.fr/arkotheque/client/ad_var/memoires_de_guerres/fiche_detail.php?ref=13405
Mémoires de Guerres
Correspondance de Gustave Fabre de sa mobilisation en août 1914 à sa blessure en mars 1915document numériséLe Val (Var, France)

Mobilisation :

Le 2 août 1914, il est rappelé à l’activité suite à l’ordre de mobilisation générale.

En septembre, il est à Toulon au 4e régiment d’infanterie coloniale du Mourillon.

Fin septembre, il part pour le front, près de Lille.

Le 6 octobre il est à Dixmude en Belgique.

En novembre, repli sur l’Oise, secteur de Gury-Cuvilly, Plessis-de-Roye.

En décembre, il est dans les tranchées de l’Oise au rythme de 3 jours au front.

En janvier 1915, il reçoit une photo de sa femme et de son fils.

En février, dans une lettre, Gustave dit ne pas douter de la loyauté de son épouse qui rencontre, elle, des difficultés relationnelles avec son beau-père veuf !

Le 20 février, il est dans les tranchées de Lassigny.

En mars, il est toujours dans les tranchées avec interdiction de faire mention du lieu où il se trouve sous peine de 15 jours d’emprisonnement.

Le 29 mars, il est blessé à la cheville : cheville de la malléole externe.

5/8/1914 - 29/3/1915https://memoires-de-guerres.var.fr/arkotheque/client/ad_var/memoires_de_guerres/fiche_detail.php?ref=13448
Mémoires de Guerres
Correspondance de Gustave Fabre de sa blessure en mars 1915 à son départ pour l'Indochine en avril 1916document numériséLe Val (Var, France)

Convalescence :

Le 3 avril, il écrit une lettre dans laquelle il relate l’accident.

Le 7, il écrit une lettre de Ricquebourg.

Le 10, il est évacué sur l’hôpital de l’arrière via Compiègne.

Le 12, il est en transit à Aubervilliers.

Le 13, il est de retour à Compiègne.

Le 14, il est en transit à Lisieux en route pour Deauville.

Le 16, arrivée à l’hôpital temporaire n° 31 (dans le Royal Hôtel).

En mai, il est toujours en soin à Deauville.

Le 20 juin ,arrivée à Trouville (Palace Hôtel) lit n° 668, il participe à l’animation musicale au sein de la société musicale « les enfants de la plage ».

 

Première permission :

Le 27 novembre, il obtient une permission de 7 jours, il s’agit de sa première depuis la mobilisation.

 Retour au front :

 Le 3 décembre, retour au front à Cuvilly.

Le 4, arrivée à Cherbourg (dépôt du 1er régiment d’infanterie coloniale du Maroc 23e compagnie).

Il devient caporal instructeur, il accueille les jeunes recrues à qui il enseigne la discipline, l’ordre, le respect, la propreté et les chants patriotiques.

Il passe Noël chez M. Patteyn, chef de la musique de Trouville.

Début mars, il continue de participer à l’incorporation des « bleus ».

Le 3 mars, il fait sa demande de relève aux colonies.

 Deuxième permission :

 Le 19 avril 1916, permission de 7 jours. Il se rend au Val, il retrouve son épouse et conçoit son 2ème enfant.

 

1/4/1915 - 19/3/1916https://memoires-de-guerres.var.fr/arkotheque/client/ad_var/memoires_de_guerres/fiche_detail.php?ref=13452
Mémoires de Guerres
Correspondance de Gustave Fabre pendant sont trajet pour l'Indochine à bord du paquebot Magellandocument numériséLe Val (Var, France)

Départ pour l’Indochine :

 Fin mars : départ de Marseille à bord du Magellan (messageries maritimes) à destination de l’Indochine.

En mai, escale à Port-Saïd, Djibouti, Colombo, Iles de la Sonde, Singapour, Saïgon, Haïphong. Arrivée le 1er juin.

2/4/1916 - 27/5/1916https://memoires-de-guerres.var.fr/arkotheque/client/ad_var/memoires_de_guerres/fiche_detail.php?ref=13455
Mémoires de Guerres
Correspondance de Gustave Fabre de son arrivée en Indochine le 1er juin 1916 à son décès le 17 juin 1918document numériséLe Val (Var, France)

Arrivée en Indochine le 1er juin. Activité militaire réduite. Participation active à la musique : orchestre, cérémonie, accordage des pianos.

Il cherche à travailler dans le milieu agricole sans succès. Plusieurs contact avec M.Courson de Besse… la vie militaire dans les tranchées lui semble bien loin.

Le 17 janvier, il est averti par dépêche de la naissance de sa fille Denise Fabre. Au cours de cette année, il projette de faire venir sa femme et ses enfants en Indochine et de s’y installer.

En fin d’année, il obtient son détachement de l’armée pour intégrer la société des Ciments Portland.

20 janvier 1918 : prise de fonction à la cimenterie. Il est logé, blanchi, a un « boy » pour la cuisine et perçoit 140 piastres par mois. Il devient maître-chaufournier.

Il ne sait plus rien de la guerre sauf dans les courriers de Marcelline où il apprend les difficultés d’approvisionnement en France.

En mai, il participe toujours au club musical local mais dans le courant du mois de mai, il ressent des douleurs abdominales et est souvent pris de vomissements.

Le 24 mai, il est admis à l’hôpital de Haïphong.

Le 17 juin, malgré les soins, il décède.

1/6/1916 - 17/6/1918https://memoires-de-guerres.var.fr/arkotheque/client/ad_var/memoires_de_guerres/fiche_detail.php?ref=13472
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